QCM
a. Effectue un mouvement centripète.
b. Effectue un mouvement vers le bas.
c. Tourne sur lui-même.
d. Ne bouge pas.
a. Effectue un mouvement centripète.
b. Effectue un mouvement vers le bas.
c. Tourne sur lui-même.
d. Ne bouge pas.
a. Effectue un mouvement centripète.
b. Effectue un mouvement centrifuge.
c. Effectue un mouvement vers le haut.
d. Tourne sur lui-même.
a. Il est programmable.
b. Il peut travailler selon l'axe charnière réel.
c. Il travaille selon des sécantes aux mouvements mandibulaires.
d. Les déplacements de ses boules condyliennes sont curvilignes.
a. Tout le temps.
b. Jamais.
c. Quand la protection antérieure est insuffisante.
d. Quand la protection antérieure est efficace.
a. Tout le temps.
b. Jamais.
c. Quand le patient est âgé.
d. Quand le patient est jeune.
a. Guide la face mésiale de la première molaire permanente lors de son éruption.
b. Subit un phénomène d'attrition et d'élargissement de sa surface.
c. Mésial d'une prothèse sur pilier implantaire est plus fréquemment perdu qu'en distal.
d. D'une face distale sur une dent bordant un édentement terminal compensé par une prothèse amovible partielle métallique doit être fortement marqué.
a. De positionner le point de séparation sur une surface externe sans contact occlusal ou proximal.
b. De positionner le contact interdentaire dans sa position théorique si la malposition ne peut pas être corrigée.
c. Un glaçage des céramiques uniquement par polissage mécanique.
a. Si l'intensité du contact est trop faible, il est possible de réaliser des corrections additives.
b. Si les rectifications soustractives sont minimes après le glaçage, un polissage par granulométrie décroissante suffit.
c. Du papier d'occlusion, des sprays ou des liquides permettent de visualiser le contact interdentaire.
d. Les retouches par soustraction peuvent être des meulages légers et successifs à vitesse élevée.
a. Avec absence de toutes les molaires de l'arcade maxillaire ou mandibulaire.
b. Avec absence des prémolaires.
c. Avec l'absence unilatérale des molaires.
d. Avec au minimum l'absence bilatérale des secondes molaires d'une même arcade.
a. Une mastication aussi efficace que chez des patients totalement dentés.
b. Une mastication plus efficace que chez les patients totalement dentés.
c. Un handicap lors de la mastication.
d. Une adaptation partielle de la fonction masticatoire.
a. Donne satisfaction aux patients.
b. Permet une récupération partielle des fonctions masticatoires.
c. Est la solution de choix dans les cas d'arcades courtes.
d. Peut toujours être proposée aux patients.
1 c ; 2 a ; 3 d ; 4 c ; 5 a ; 6 a, b, c ; 7 a ; 8 a, b, c ; 9 d ; 10 c, d ; 11 b, d.