Les cahiers de prothèse n° 172 du 01/12/2015

 

TEST DE LECTURE

Les matériaux de mise en condition tissulaire : pourquoi et comment les utiliser au quotidien ? Marion Dehurtevent, Nicolas Héloire, Lieven Robberecht, Thierry Delcambre, François-Xavier Santolalla, Claude Lefèvre

1 Les résines acryliques à prise retardée :

a. contiennent toutes des phtalates, plastifiant toxique, dans le liquide ;

b. au bout de 4 jours deviennent dures, rugueuses et microporeuses ;

c....


Les matériaux de mise en condition tissulaire : pourquoi et comment les utiliser au quotidien ? Marion Dehurtevent, Nicolas Héloire, Lieven Robberecht, Thierry Delcambre, François-Xavier Santolalla, Claude Lefèvre

1 Les résines acryliques à prise retardée :

a. contiennent toutes des phtalates, plastifiant toxique, dans le liquide ;

b. au bout de 4 jours deviennent dures, rugueuses et microporeuses ;

c. imposent un nettoyage mécanique de la base prothétique avec une brosse ;

d. contaminées, sont un problème majeur pour la santé des patients, particulièrement en prothèse maxillo-faciale.

2 Le protocole de réalisation d'une mise en condition tissulaire impose :

a. de valider la dimension verticale d'occlusion au préalable ;

b. de modifier le rapport liquide/poudre pour adapter la consistance et les propriétés du matériau ;

c. de renouveler le matériau tous les mois ;

d. de réaliser une surempreinte de surfaçage.

3 La résine acrylique à prise retardée est indiquée :

a. par suite de l'ablation de crêtes flottantes ;

b. obligatoirement à la suite d'une ulcération en regard d'une surextension ;

c. en regard d'une ancienne prothèse aux bords périphériques mal adaptés ;

d. après une stomatite prothétique.

Agénésie de l'incisive latérale maxillaire chez l'adolescent : quel traitement lorsque la solution implantaire n'est pas envisageable ? Matthieu Renaud, Adrien Ameline, Félix Marie, Philippe Bousquet, Sylvie Montal

4 Les éléments à prendre en compte dans le cas d'une prise en charge implantaire sont :

a. le volume osseux au niveau de la zone d'agénésie ;

b. le stade de la croissance ;

c. le risque carieux individuel.

5 Le bridge collé sans préparation :

a. peut supporter des forces occlusales en statique ;

b. peut supporter des forces occlusales en dynamique ;

c. doit nécessairement ne pas interférer avec l'occlusion en statique et dynamique.

Critères de choix pour la conception d'une suprastructure implantaire de prothèse complète transvissée. Jérémie Perrin, Jean Sui, Hervé Plard, Yvan Bedouin, Yves Gastard, Fabrice Clipet

6 Le bridge supra-implantaire « pilotis » :

a. est une solution thérapeutique impossible pour les patients totalement édentés ;

b. ne comporte jamais de superstructure implantaire (barre) ;

c. est généralement réalisé sur 6 implants ;

d. suit des protocoles bien établis (chirurgie et prothèse).

7 La superstructure implantaire (barre) des pilotis :

a. est indispensable pour les pilotis d'usage ;

b. est généralement réalisée par CFAO ;

c. est généralement réalisée par méthode de la cire perdue en alliage chrome-cobalt ;

d. doit être adaptée de manière passive sur les implants.

8 Le choix de la superstructure implantaire des pilotis :

a. est défini par le projet prothétique avant la pose des implants ;

b. est directement guidé par le logiciel de CFAO ;

c. est réfléchi par l'équipe clinicien prothésiste-prothésiste de laboratoire ;

d. est fonction du décalage entre les émergences implantaires et le projet prothétique.

Hyposialie et prothèses amovibles : de nouvelles solutions ? Maud Caba, Claudine Wulfman

9 Quelles sont les deux principales étiologies de la sécheresse buccale ?

a. L'hypertension.

b. L'irradiation des glandes salivaires.

c. Le diabète.

d. Le syndrome de Gougerot-Sjögren.

10 Quels conseils diététiques donner à un patient souffrant d'hyposialie ?

a. Boire de la bière.

b. Éviter les aliments gras, sucrés, salés.

c. Ajouter des corps gras.

d. Boire davantage d'eau.

11. L'association dentifrice, spray et gel buccal apporte un bénéfice par rapport à l'utilisation d'un seul de ces produits.

a. Vrai

b. Faux

Évaluation de la satisfaction des patients porteurs de prothèse amovible. Moctar Gueye, El Hadj Babacar M'Bodj, Lambane Dieng, Amélie Souaré Diallo, Daouda Faye, Emmanuel Nicolas

12 La satisfaction du patient peut être considérée comme :

a. un résultat des soins ;

b. un facteur indépendant du traitement ;

c. un élément de l'état de santé.

13 Dans quelles catégories de patients le score de satisfaction générale est-il augmenté :

a. chez les patients de sexe féminin ;

b. chez les patients de sexe masculin ;

c. chez les patients âgés de plus de 75 ans ;

d. chez les patients âgés de moins de 60 ans.

14 Le score élevé de satisfaction esthétique est en rapport avec :

a. un choix adéquat des dents prothétiques ;

b. un essayage esthétique convenablement conduit ;

c. l'absence de validation du montage par le patient.

Étude du dimorphisme sexuel à partir de l'observation de photographies dento-labiales. Maxime Ducret, Alizée Ulm, Laurent Venet, Catherine Millet

15 Selon Frush et Fisher, la forme des dents serait principalement en lien avec :

a. l'âge ;

b. la personnalité ;

c. la croissance ;

d. l'alimentation ;

e. l'origine ethnique.

16 D'après les résultats de cette étude, nous pouvons conclure que :

a. il est assez facile de distinguer les hommes des femmes à partir de photographies ;

b. certaines caractéristiques permettent d'identifier plus intuitivement des sourires ;

c. les dents semblent faciliter la reconnaissance du sexe ;

d. les lèvres semblent faciliter la reconnaissance du sexe ;

e. les lèvres peuvent dans certains cas modifier sensiblement la perception du sexe.

17 D'un point de vue clinique :

a. il faut rester prudent quant à la prise en compte du sexe au moment de concevoir une restauration prothétique ;

b. il semble plus pertinent de percevoir le patient dans sa globalité ;

c. il semble plus pertinent de percevoir le patient par le biais des repères et des lignes esthétiques ;

d. lorsque le sourire provoque un préjudice esthétique, le rôle du praticien sera de proposer une thérapeutique prothétique standardisée ;

e. lorsque le sourire provoque un préjudice esthétique, le rôle du praticien sera aussi parfois d'orienter le patient vers une thérapeutique de chirurgie esthétique.

Recherche du plan d'occlusion de référence chez le mélanoderme africain totalement édenté. Assiéhué Claude N'Dindin, Kouakou Kouadio, Aboudramane Bamba, Ouloua Dorcas Bakou, El Hadj Babacar M'Bodj, Mathieu Kouame, Kouadio Benjamin Djeredou, Koffi Delman Assi, Bernard Giumelli

18 Le plan d'occlusion est une surface d'occlusion courbe de référence dans les trois plans de l'espace, qui intègre les courbes de compensation.

a. Vrai

b. Faux

19 Le plan d'occlusion piézographique est déterminé au niveau postérieur et lingual à la jonction des muqueuses linguales lisses et papillées. En antérieur, il est parallèle au bord de la lèvre inférieure.

a. Vrai

b. Faux

20 Le plan de Ricketts est un plan d'occlusion de référence chez le sujet mélanoderme africain.

a. Vrai

b. Faux

21 Les plans de Francfort et de Cooperman constituent des plans d'occlusion de référence chez le sujet mélanoderme africain.

a. Vrai

b. Faux

22 Le plan de Camper ne peut être retenu comme plan d'occlusion référentiel chez le sujet mélanoderme africain.

a. Vrai

b. Faux

1 : b,d. 2 : a,d. 3 : a,c. 4 : a,b. 5 : c. 6 : c,d. 7 : a,b,d. 8 : c,d. 9 : b,d. 10 : c,d. 11 : a. 12 : a,c. 13 : b,d. 14 : a,b. 15 : a,b. 16 : b,e. 17 : a,b,c,e. 18 : a. 19 : a. 20 : b. 21 : a. 22 : a.