Évaluez vos connaissances en lisant et relisant Les Cahiers de prothese

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Stratégie prothétique pour anticiper l’arrivée des implants

Matthieu Renaud, Philippe Bousquet, Sylvie Montal

1. La technique d’élévation sinusienne est peu recommandée dans la littérature.

• a. Vrai

• b. Faux

2. La classe 3 de kennedy est un édentement terminal.

• a. Vrai

• b. Faux

3. La réhabilitation par prothèse implanto-portée est la technique de référence dans les cas de classe 3 de Kennedy quand celle-ci est possible.

• a. Vrai

• b. Faux

Restauration esthétique d’un patient atteint du syndrome de Gougerot-Sjögren

Guillaume Lance, Damien Savouré, Hervé Plard, Jérémie Perrin, Julien Cardona, Gérard Bader

1. Le Syndrome de Gougerot-Sjorgen est souvent associé à des lésions d’érosions :

• a. Vrai

• b. Faux

2. L’érosion :

• a. se manifeste seul

• b. est souvent associée à d’autres phénomènes tel que l’abfraction VRAI

• c. est systématiquement associée à d’autres phénomènes tel que l’abfraction

3. La réalisation de bridge postérieur céramo-céramique est une contre indication à l’utilisation du dissilicate de lithium :

• a. Vrai

• b. Faux

Montage directeur polymérisé en prothèse composite : protocole d’utilisation, intérêts et limites

Omar Iraqui, Salwa Berrada, Faiza Benfdil, Nadia Merzouk

1. La réalisation du montage directeur polymérisé doit :

• a. être précédée d’une simulation du projet prothétique

• b. obligatoirement se faire sur un moulage issu d’une empreinte secondaire

• c. de préférence se faire sur un moulage issu d’une empreinte secondaire

• d. faire appel à un matériau rigide

2. L’utilisation du MDP durant la phase de réalisation des éléments conjoints permet :

• a. un transfert précis des rapports occlusaux sur articulateur

• b. un positionnement précis des points de contacts

• c. un positionnement précis des attachements

• d. une réalisation précise des fraisages

3. Le recours à un MDP doit :

• a. être systématique en toutes situations cliniques

• b. est simple et sans risque

• c. peut être une source d’erreur

• d. être précédé d’un reconditionnement des structures d’appui

Approche prothétique des divisions vélo-palatines séquellaires : proposition d’une classification actualisée à visée thérapeutique

Florent Destruhaut, Rémi Esclassan, Jacques Dichamp, Philippe Pomar, Antonin Hennequin, Christophe Rignon-Bret

1. Fentes du palais secondaires :

• a. elles résultent d’un défaut de fusion des fragments palatins au cours de l’embryogénèse

• b. elles sont considérées comme des fœtopathies

• c. elles peuvent être associées à d’autres malformations congénitales localisées hors de l’extrémité céphalique

• d. une fente vélaire est encore appelée uranoschisis

2. Examen clinique des divisions congénitales du voile :

• a. il n’existe que très peu de formes cliniques

• b. un trouble de la déglutition est systématique

• c. pour la grande majorité des patients, il n’y a pas de cloisonnement efficace entre le cavum et l’oropharynx

• d. on peut observer parallèlement une hypertrophie du muscle constricteur moyen du pharynx, appelé bourrelet de passavant

3. Obturateurs vélaires

• a. un obturateur de Mazaheri est réalisé en classe 1

• b. un obturateur similaire à celui de Suersen est réalisé en classe 3

• c. l’obturateur de Fröschel et Schalit est utilisé dans les classes 3 en raison de son faible encombrement

• d. pour réaliser un obturateur de Suersen ou de Schiltsky, il faut réaliser une empreinte fonctionnelle en 2 temps, soutenue par un tuteur en fil d’acier