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Le diagnostic esthétique : clés de la réussite lors d’une réhabilitation du sourire
Stéphanie Ortet, Jean-Christophe Paris, Fabio Levratto, André-Jean...
Avez-vous bien retenu ce que vous avez lu dans ce numéro ? Vérifiez-le en complétant ce test, également disponible, avec les bonnes réponses, sur www.editionscdp.fr > Formation continue > QCM > Cahiers de prothèse décembre 2013.
Le diagnostic esthétique : clés de la réussite lors d’une réhabilitation du sourire
Stéphanie Ortet, Jean-Christophe Paris, Fabio Levratto, André-Jean Faucher
1. Le Tableau décisionnel© est un condensé des critères anatomiques qui régissent l’esthétique du sourire :
• a. vrai
• b. faux
2. Le projet esthétique permet de « prévisualiser » le sourire de nos patients :
• a. vrai
• b. faux
3. Envisager la reconstruction d’un sourire en tenant compte de la globalité d’un visage reste sans intérêt :
• a. vrai
• b. faux
4. L’utilisation du Tableau décisionnel© simplifie les démarches d’analyse du sourire :
• a. vrai
• b. faux
Technologie numérique appliquée au choix des paramètres esthétiques en prothèse amovible
Philippe Boitelle, Olivier Fromentin
5. L’utilisation d’un logiciel d’aide au choix des paramètres esthétiques nécessite :
• a. l’importation d’une radiographie
• b. l’importation d’une photographie de face
• c. l’importation d’une photographie des arcades dentaires
6. Le projet esthétique élaboré par le logiciel :
• a. ne concerne que les prothèses fixées
• b. présente une bibliothèque de dents de la marque Vita
• c. ne permet pas l’importation des données issues de l’appareil Easyshade® Vita
7. En clinique, ce logiciel permet :
• a. au praticien d’élaborer seul le projet esthétique
• b. de diminuer le nombre de séance prothétique
• c. de réaliser l’analyse esthétique en repérant la ligne bi-pupillaire et la distance inter-pupillaire
Prothèse fixée et parodonte : favoriser et pérenniser l’intégration biologique et esthétique
Michel Bartala, Katy Coly-Canderatz, Julien Brousseaud
8. La limite prothétique de choix pour les secteurs postérieurs est :
• a. intra sulculaire
• b. supra gingivale
• c. juxta gingivale
9. La technique de fausse gencive :
• a. l’empreinte des limites prothétiques permet aussi l’empreinte pour la fausse gencive
• b. la fausse gencive nécessite une deuxième empreinte immédiatement après l’empreinte des préparations
• c. l’empreinte pour la fausse gencive se fait au moins deux semaines après l’empreinte des préparations
10. La coiffe provisoire :
• a. elle n’est pas nécessaire car elle peut irriter les tissus parodontaux
• b. elle doit être en léger sur contour pour favoriser l’empreinte en écartant les tissus marginaux
• c. elle doit avoir une adaptation précise et son polissage doit être minutieux pour limiter la rétention de la plaque bactérienne
• d. la provisoire peut permettre de façonner les tissus gingivaux
Inlay-core ou reconstitution par matériau foulé : opposition ou évolution ?
Marc Linez, François Descamp
11. L’effet « ferrule » est néfaste à la reconstitution prothétique :
• a. vrai
• b. faux
12. Les RMIPP peuvent être réalisées dans tous les secteurs :
• a. vrai
• b. faux
L’acide hyaluronique pour optimiser l’esthétique des restaurations prothétiques
Jean-Pierre Salama, François Descamp
13. L’acide hyaluronique est un produit semi-résorbable :
• a. vrai
• b. faux
14. Les sillons profonds sont traités avec :
• a. un gel visqueux
• b. un gel fluide
• c. ne peuvent être traités
15. La pratique de l’injection de l’acide hyaluronique nécessite de souscrire à une responsabilité professionnelle complémentaire :
• a. vrai
• b. faux
Le consentement libre et éclairé du patient : une étape clé de la restauration prothétique
Pauline Deweerdt, Alessandra Blaiszot, Céline Catteau, Grégoire Mayer
16. Le consentement à l’acte de soins :
• a. naît tacitement du contrat de soins
• b. est un préalable indispensable à l’information du patient
• c. doit être recherché avant chaque acte
• d. est donné par la personne de confiance quand le patient refuse le traitement
• e. peut être retiré à tout moment par le patient
17. L’information :
• a. peut être délivrée au patient par l’assistante dentaire
• b. n’est pas délivrée au patient bénéficiant d’une mesure de protection juridique mais uniquement à la personne chargée de sa protection
• c. se limite aux éléments de nature technique et médicale
• d. en matière de réhabilitation prothétique se limite à la remise du devis oe. doit être délivrée au cours d’un entretien oral
18. La preuve que l’information a bien été délivrée au patient :
• a. doit être apportée par le praticien en cas de litige
• b. doit faire l’objet d’un document écrit et signé par le patient
• c. peut être faite par tout moyen