ÉDITORIAUX
Paul Mattout* Hessam Nowzari**
*Rédacteur en chef
**Rédacteur en chef invité
Nombre de publications d’Hessam Nowzari sont incontournables et représentent des bases bibliographiques indispensables. C’est pour cette raison, et aussi pour l’amitié qui nous lie depuis une vingtaine d’années, que Hessam Nowzari est de nouveau rédacteur en chef invité du JPIO.
Son premier numéro a été particulièrement apprécié à en juger par les « retours » nombreux et favorables. Dans ce deuxième numéro, Hessam Nowzari continue sur sa lancée en...
Nombre de publications d’Hessam Nowzari sont incontournables et représentent des bases bibliographiques indispensables. C’est pour cette raison, et aussi pour l’amitié qui nous lie depuis une vingtaine d’années, que Hessam Nowzari est de nouveau rédacteur en chef invité du JPIO.
Son premier numéro a été particulièrement apprécié à en juger par les « retours » nombreux et favorables. Dans ce deuxième numéro, Hessam Nowzari continue sur sa lancée en posant des questions de fond aussi variées que la thérapie génique en parodontologie, l’attitude du praticien lors d’une fracture de vis implantaire ou encore le problème de l’os bovin. En effet, l’engouement des praticiens pour ce matériau est étonnant. Son intérêt réel dans les reconstructions osseuses sera abordé et son innocuité sera discutée.
Hessam Nowzari a su « mixer » des conférenciers de qualité issus de pays étrangers qui n’avaient jusque-là jamais eu de coopération scientifique.
Je le remercie pour cette initiative tout à fait innovante et pour sa fidélité en amitié.
Afin de fournir des solutions pratiques aux défis communs cliniques, des cliniciens expérimentés ont été invités à contribuer au deuxième numéro de l’année du JPIO, dont j’ai la responsabilité.
La fracture de la vis du pilier de l’implant ou la rétention du ciment sont des problèmes difficiles à traiter. Les solutions existantes sont examinées.
L’orthodontie facilitée par la corticotomie est une modalité de traitement avant-gardiste. Les réticences de la communauté orthodontique face à cette thérapie sont discutées.
L’établissement d’un diagnostic complet et précis comme un préalable indispensable à la pose d’implants sans lambeau est souligné et la sécurité de l’os d’origine bovine comme matériau de greffe est mise en cause.
J’ai invité des scientifiques et des chercheurs d’Iran et d’Israël à collaborer, interagir et contribuer à ces deux numéros. La collaboration vieille de plusieurs siècles entre ces deux cultures exceptionnellement riches a débouché une fois de plus sur un résultat positif et prolifique. La collaboration scientifique génère un environnement favorable à la poursuite de la coopération et à l’obtention de résultats encore plus féconds.