REVUE DE PRESSE
Prothèse
Le but de cette étude était de mesurer les tolérances d’usinage horizontales à l’interface entre implants à hexagone externe ou interne et analogues et avec les composants prothétiques correspondant après livraison du fabricant. Ces valeurs peuvent être un outil précieux pour évaluer l’inadaptation croissante causée par la fabrication, le traitement et l’usure.
Sept implants et 7 analogues avec des connexions à hexagone interne et externe (Biomet 3i) avec les...
Le but de cette étude était de mesurer les tolérances d’usinage horizontales à l’interface entre implants à hexagone externe ou interne et analogues et avec les composants prothétiques correspondant après livraison du fabricant. Ces valeurs peuvent être un outil précieux pour évaluer l’inadaptation croissante causée par la fabrication, le traitement et l’usure.
Sept implants et 7 analogues avec des connexions à hexagone interne et externe (Biomet 3i) avec les cylindres en or, en plastique préfabriqués, les vis en or et les vis de laboratoire correspondants ont été étudiés. L’ensemble des composants des groupes hexagone interne et externe a été mesuré manuellement et numériquement. Les mesures provenant des essais manuels ont été comparées à celles réalisées à partir du modèle virtuel en vue d’obtenir des valeurs de seuil. Le modèle virtuel a ensuite été utilisé pour obtenir des coupes orientées de manière optimale.
Les tolérances d’usinage horizontales pour les piliers en plastique sur les hexagones externes étaient de 12 ± 89 µm et, pour les hexagones internes, de 86 ± 47 µm. Les mesures de tolérance sur les piliers en or préfabriqués pour les hexagones externes étaient de 44 ± 9 µm et, pour les hexagones internes, de 58 ± 28 µm.
Les groupes avec des composants métalliques ont montré une plus faible tolérance : < 50 µm pour le groupe hexagone externe et < 90 µm pour le groupe hexagone interne. Les groupes de cylindres en plastique préfabriqués variaient de < 100 µm pour un hexagone externe et < 130 µm pour une connexion interne.