REVUE DE PRESSE
Recherche
Cette étude a évalué le comportement biomécanique des implants courts avec différentes hauteurs d’os résiduel et l’a comparé avec celui des implants standard dans un os résiduel de 13 mm ou moins.
Il a été admis que les premières et deuxièmes molaires maxillaires avaient été remplacées par des couronnes en or supportées par 2 implants. En tout, 5 modèles maxillaires sans dents postérieures ont été fabriqués avec des hauteurs osseuses résiduelles différentes...
Cette étude a évalué le comportement biomécanique des implants courts avec différentes hauteurs d’os résiduel et l’a comparé avec celui des implants standard dans un os résiduel de 13 mm ou moins.
Il a été admis que les premières et deuxièmes molaires maxillaires avaient été remplacées par des couronnes en or supportées par 2 implants. En tout, 5 modèles maxillaires sans dents postérieures ont été fabriqués avec des hauteurs osseuses résiduelles différentes (13 m, 7, 6, 5 et 4 mm). La hauteur osseuse résiduelle était 13 mm dans le groupe 1 (contrôle). Le groupe 2 (test) était divisé en 4 sous-groupes : le groupe 2-1 pour une hauteur de 7 mm, le groupe 2-2 pour 6 mm, le groupe 2-3 pour 5 mm et le groupe 2-4 pour 4 mm. Dans le groupe 1, 2 implants identiques (4,5 x 11 mm) et des piliers (6 x 2,5 mm) ont été placés. Dans le groupe 2, 2 implants courts identiques (6 x 5,7 mm) et des piliers (6 x 5 mm) l’ont été.
Une angulation de 30° et une charge de 187 N ont été appliquées au niveau de la fosse centrale des 2 couronnes supportées par les implants.
Le maximum des tensions relevées dans l’os cortical crestal était inférieur dans le groupe 2 par rapport au groupe 1.
Cette simulation numérique a confirmé que, sans greffe osseuse de sinus maxillaire, une distribution plus efficace des forces pourrait être obtenue dans 4, 5, 6, ou 7 mm d’os résiduel avec des implants courts que dans 13 mm d’os résiduel avec des implants standard.