Implant n° 1 du 01/02/2014

 

REVUE DE PRESSE

Prothèse

Thierry Neimann  

Cette étude a évalué l’effet de 6 séquences de serrage de vis et de 2 méthodes de vissage sur la précharge des vis dans les suprastructures sur implants. La précontrainte a été mesurée à l’aide de jauges de contrainte après le vissage d’un châssis métallique fixé sur 4 implants.

Les conditions expérimentales comprenaient 6 séquences de serrage de vis – (1) : 1-2-3-4 ; (2) : 4-2-3-1 ; (3) : 4-3-1-2 ; (4) : 1-4-2-3 ; (5) : 2-3-4-1 ; (6) : 3-2-4-1 –,...


Cette étude a évalué l’effet de 6 séquences de serrage de vis et de 2 méthodes de vissage sur la précharge des vis dans les suprastructures sur implants. La précontrainte a été mesurée à l’aide de jauges de contrainte après le vissage d’un châssis métallique fixé sur 4 implants.

Les conditions expérimentales comprenaient 6 séquences de serrage de vis – (1) : 1-2-3-4 ; (2) : 4-2-3-1 ; (3) : 4-3-1-2 ; (4) : 1-4-2-3 ; (5) : 2-3-4-1 ; (6) : 3-2-4-1 –, 2 méthodes (en 1 étape et en 3 étapes) et 5 répétitions des conditions expérimentales.

Des différences significatives ont été trouvées entre les séquences et les méthodes de serrage. Dans le procédé en 3 étapes, une précharge totale plus élevée a été trouvée dans les deux séquences 2 (312 ± 85 N), 4 (310 ± 96 N) et 3 (246 ± 54 N). Dans le procédé en 1 étape, une précharge totale plus élevée a été trouvée dans les séquences 5 (764 ± 142 N), 6 (350 ± 69 N) et 1 (286 ± 94 N).

Les auteurs concluent que la plus haute précharge totale de la vis a été atteinte lorsque les vis ont été vissées, dans un premier temps, sur les implants antérieurs en une seule étape puis sur les implants postérieurs.

Articles de la même rubrique d'un même numéro