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Cette étude expose les résultats biologiques et techniques d’implants mis en place de façon classique après une période de cicatrisation de 12 semaines au moins et d’implants placés de façon précoce peu après l’avulsion dentaire. Vingt patients consécutifs sont inclus dans l’étude.
Ils présentent tous une dent maxillaire antérieure absente pour des raisons décrites ; les critères d’inclusion dans l’étude sont mentionnés. Dix implants ont été placés de...
Cette étude expose les résultats biologiques et techniques d’implants mis en place de façon classique après une période de cicatrisation de 12 semaines au moins et d’implants placés de façon précoce peu après l’avulsion dentaire. Vingt patients consécutifs sont inclus dans l’étude.
Ils présentent tous une dent maxillaire antérieure absente pour des raisons décrites ; les critères d’inclusion dans l’étude sont mentionnés. Dix implants ont été placés de façon précoce, 4 semaines après extraction pour le groupe A et dix autres implants ont été placés au moins 12 semaines après les avulsions dentaires. De nombreuses données sont enregistrées lors d’un contrôle dit de référence, 1 ou 2 semaines après le scellement des couronnes céramo-métalliques, puis annuellement lors des contrôles : la douleur dans la région implantaire, la mobilité implantaire, la présence de plaque sur la couronne supra-implantaire, toute inflammation parodontale de la zone implantée, et la perte osseuse marginale péri-implantaire. Toutes les complications biologiques et techniques sont enregistrées, et les patients ont évalué les résultats esthétiques et fonctionnels sur une échelle visuelle analogique après 3 ans et 10 ans.
Tous les implants étaient toujours en place après 10 ans, donnant un taux de survie cumulatif de 100 %. Deux couronnes ont dû être refaites en raison de fractures de céramique donnant un taux de survie des couronnes de 90 %.