Clinic n° 11 du 01/11/2021

 

Éditorial

Philippe BIDAULT  

En 2013, après le départ à la retraite du Dr Peter Pré, parodontiste, j’ai eu la chance de prendre en charge des patients qu’il avait suivis. Et je les ai régulièrement entendu dire « Dr Pré a sauvé mes dents » ou « Grâce à lui, j’ai encore mes dents ». Encore maintenant, il n’est pas rare que les patients évoquent ce praticien avec beaucoup de respect pour son travail et tout ce qu’il leur a apporté. Ces commentaires répétés ont donné un nouvel...


En 2013, après le départ à la retraite du Dr Peter Pré, parodontiste, j’ai eu la chance de prendre en charge des patients qu’il avait suivis. Et je les ai régulièrement entendu dire « Dr Pré a sauvé mes dents » ou « Grâce à lui, j’ai encore mes dents ». Encore maintenant, il n’est pas rare que les patients évoquent ce praticien avec beaucoup de respect pour son travail et tout ce qu’il leur a apporté. Ces commentaires répétés ont donné un nouvel éclairage à mon activité.

Ainsi, les maintenances parodontales et plus généralement les soins et conseils de prévention ont pris tout leur sens et une place centrale au cabinet. Le développement très technique de notre métier et son fort dynamisme ne doivent pas nous faire oublier l’essentiel : la première demande de nos patients est de conserver un maximum de dents et dans les meilleures conditions possibles.

C’est le fondement même de notre profession. C’est dans cet esprit que j’ai demandé à chaque auteur de travailler pour illustrer, selon leur type d’exercice, cette notion de « conserver » car je suis convaincu que ça doit constituer notre premier objectif. Et, c’est très motivant et gratifiant de soigner quand on s’inscrit dans cette perspective.

Bonne lecture.

Philippe BIDAULT

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