ADF 2019
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Le top départ des inscriptions aux 110 séances du prochain congrès de l'ADF, dont 20 en traduction simultanée, vient d'être donné. Ce congrès va se tenir alors que la profession est confrontée à deux grandes tendances : des espaces de liberté qui se réduisent avec la nouvelle convention et des évolutions technologiques importantes. Dressant ce constat, Serge Armand, président du congrès 2019, ambitionne de montrer aux confrères que l'investissement dans les technologies...
Le top départ des inscriptions aux 110 séances du prochain congrès de l'ADF, dont 20 en traduction simultanée, vient d'être donné. Ce congrès va se tenir alors que la profession est confrontée à deux grandes tendances : des espaces de liberté qui se réduisent avec la nouvelle convention et des évolutions technologiques importantes. Dressant ce constat, Serge Armand, président du congrès 2019, ambitionne de montrer aux confrères que l'investissement dans les technologies n'est « pas inconciliable » avec un exercice « de plus en plus encadré ». Ce congrès permettra aussi d'explorer l'apport pour la profession de l'intelligence artificielle (IA), en particulier au cours de la séance phare.
Marwan Daas, président du comité scientifique, s'est attaché à bâtir un programme scientifique international, transversal et pluridisciplinaire « qui réponde aux demandes quotidiennes des confrères » et qui permette à chacun d'appliquer des protocoles « dès le lendemain » au cabinet. Les formats de conférence courts pour aller à l'essentiel et développer des points de vue sont privilégiés. Deux Master Class avec de nombreux intervenants sont prévues pour explorer la dentisterie contemporaine, avec Gil Tirlet, et le traitement des récessions gingivales, avec Virginie Monnet-Corti. À quelques jours de la fin de la période triennale 2017-2019 pour le DPC, l'ADF permet aussi de remplir son obligation. Ces séances portent sur des thèmes comme le diagnostic des lésions osseuses (avec Ahmed Feki) et muqueuses (Jean-Christophe Fricain), la prise en charge de la douleur (Vianney Descroix) et la gestion des caries profondes (Stéphane Simon)... Au-delà de l'obligation, l'attrait du programme n'est pas inutile quand aujourd'hui, seul le quart de la profession a suivi un parcours DPC !