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C'est la part des chirurgiens-dentistes qui a émargé à des actions de DPC, à un an de la fin de la période de trois ans (2017 à 2019) au cours de laquelle chaque professionnel de santé doit participer au dispositif de DPC. La moyenne des 10 professions d'exercice libéral concernées s'élève à 36 % de participation.
Elle cache de fait de grandes disparités. Si seuls 14 % des chirurgiens-dentistes ont suivi au moins une action de DPC, ils sont 58 % chez les...
C'est la part des chirurgiens-dentistes qui a émargé à des actions de DPC, à un an de la fin de la période de trois ans (2017 à 2019) au cours de laquelle chaque professionnel de santé doit participer au dispositif de DPC. La moyenne des 10 professions d'exercice libéral concernées s'élève à 36 % de participation.
Elle cache de fait de grandes disparités. Si seuls 14 % des chirurgiens-dentistes ont suivi au moins une action de DPC, ils sont 58 % chez les biologistes, 55 % chez les pharmaciens et 38 % chez les médecins.
Le nombre de professionnels de santé engagés en 2018 a progressé de 12 %. La prise de conscience de l'obligation de DPC semble faire son chemin. L'an dernier, 66 % des chirurgiens-dentistes qui ont participé à des actions de DPC étaient primo-accédants (44 % toutes professions confondues).
Pour la directrice générale de ANDPC (Agence nationale de développement professionnel continu), c'est le signe que les professionnels de santé « commencent à entendre parler » du DPC et de l'obligation. En 2019, « on peut imaginer un afflux de tous ceux qui n'ont pas encore émargé au DPC ». Un afflux que l'Agence va devoir « gérer finement ».