BREST
ACTU
Applicable dans le principe depuis le mois d’août dernier, le devis conventionnel n’est dans les faits pas encore utilisé pour des raisons d’ajustement informatique. Aujourd’hui, les éditeurs de logiciels sont quasiment prêts. Et Catherine Mojaïski estime qu’il ne faut « plus trop tarder ». La loi « nous a valu une certaine paix médiatique sur ce dossier. Mais on nous guette. Il ne faut pas se faire d’illusions. Il va falloir appliquer ce devis et il va...
Applicable dans le principe depuis le mois d’août dernier, le devis conventionnel n’est dans les faits pas encore utilisé pour des raisons d’ajustement informatique. Aujourd’hui, les éditeurs de logiciels sont quasiment prêts. Et Catherine Mojaïski estime qu’il ne faut « plus trop tarder ». La loi « nous a valu une certaine paix médiatique sur ce dossier. Mais on nous guette. Il ne faut pas se faire d’illusions. Il va falloir appliquer ce devis et il va nous protéger. Sinon, nous verrons revenir en boomerang la facture du prothésiste et, surtout, la dissociation de l’acte prothétique », a prévenu la responsable syndicale, au cours d’une journée confraternelle organisée par la CNSD du Finistère le 6 février à Brest. Elle a rappelé au passage que ce devis est imposé par le législateur et que le terme de « prix de vente » retenu (qui regroupe le prix d’achat prévisionnel, une partie des frais de structure du cabinet et le montant des prestations de soins) ne convient pas à la CNSD « car nous ne sommes pas des commerçants ».