Complémentarité et partage

Depuis de nombreuses années, Philippe Bleicher a eu à cœur de développer la chirurgie et l’implantologie comme un service à offrir à des confrères omnipraticiens. La dynamique de groupe ainsi créée et le goût des rapports humains ont fini par convaincre ce praticien d’animer tout un réseau de correspondants. Cette démarche nécessite une réelle volonté de partage autour du patient et d’échange. Il s’agit de construire une équipe composée de l’omniprati­cien, des assistantes, des prothésistes de laboratoire et du spécialiste. Et l’un des éléments essentiels pour ce faire est l’établissement d’une réelle relation de confiance. En effet, il n’est ni facile ni naturel de confier son patient à des tierces personnes nonobstant la mise en avant de compétences complémentaires. C’est un nouveau type d’exercice, délicat mais tellement satisfaisant et épanouissant ! Bien évidemment, la formation scientifique du praticien spécialiste dans son domaine doit être à la hauteur de ce défi. C’est bien pour cette raison que Philippe Bleicher n’a cessé de multiplier les formations postuniversitaires et privées.

L’animation d’un réseau

Partant du postulat que les praticiens n’ont, pour la plupart, pas reçu au cours de leur cursus une formation de prothèse intégrant les implants comme une alternative de première intention, Philippe Bleicher propose régulièrement, dans l’année, des rencontres confraternelles où information rime avec convivialité. Que ce soit sous forme de soirées, d’après-midi cliniques ou de tables rondes, l’objectif est de sensibiliser ses confrères à ces solutions tout en leur apportant un soutien dans la construction de leurs projets de traitement. Chaque praticien apprend à se familiariser avec différents types de prothèses sur implants. Il intègre un groupe de travail où les échanges et la bonne humeur insufflent à chacun une dynamique dans l’exercice au quotidien. Enfin, cela permet aussi à ces praticiens de répondre à une demande croissante des patients vis-à-vis des solutions implan­taires, l’implantologie s’étant largement démocratisée ces dernières années.

Des services associés

Mais les propositions de Philippe Bleicher faites à ses confrères ne s’arrêtent pas là. Il s’est doté d’un plateau technique performant. Il a pu ainsi faire bénéficier ses confrères des apports du scanner, technologie présente au cabinet au niveau de l’endodontie, de la chirurgie, de l’orthodontie et jusqu’à la planification implantaire. Les confrères sont également conviés à accompagner leurs patients et à assister aux interventions dans le bloc opératoire. Service plus original peut-être et encore novateur, Philippe Bleicher pratique l’hypnose médicale auprès des patients qui le souhaitent. En effet, il est de tradition de penser que le chirurgien-dentiste fait peur. Cette réputation n’engendre pas la décontraction des patients. Les chirurgiens-dentistes ont toujours cherché le moyen d’améliorer leur image en atténuant ou en supprimant la douleur, la peur… Le niveau de relaxation obtenu par l’hypnose médicale peut contribuer à métamorphoser les relations avec les patients et offrir un service supplémentaire aux correspondants. Sans investissement pour le praticien, sans risque pour le patient, sécurisante pour les gestes, rapide et simple à mettre en œuvre, sans aucune médication, l’hypnose se révèle être un service incomparable où les patients se mettront enfin à apprécier le temps passé dans le fauteuil et accéderont plus facilement à des soins qu’ils n’osaient pas envisager auparavant.

Disposer d’un tel outil thérapeutique peut donc révolutionner l’exercice au quotidien. Cette technique pourrait aller jusqu’à représenter une solution de remplacement à la sédation consciente mise en place dans certaines structures. Elle peut s’appliquer à tous les domaines de l’activité, depuis la dentisterie pédiatrique,, la dentisterie conservatrice, l’orthodontie, l’analgésie (intolérance aux anesthésiques) et la chirurgie et jusqu’à l’implantologie, et ce sans limite de temps.

Ce ne sont là que quelques exemples de ce que Philippe Bleicher propose dans sa structure, entouré et aidé de son équipe.

Un poste incontournable : la coordinatrice

Pendant plusieurs années, Philippe Bleicher a mené de front sa pratique quotidienne au cabinet et l’animation de son réseau en investissant beaucoup de temps et d’énergie sur ce dernier volet. Certes, suivant les manifestations, il pouvait compter sur le soutien des laboratoires. En outre, il n’a pas hésité à externaliser certaines compétences en faisant notamment appel à une infographiste pour la réalisation de tous les supports concernant les manifestations proposées à ses correspondants. Mais il n’en restait pas moins qu’il était arrivé à un seuil qui ne lui permettait plus d’avancer comme il le souhaitait et cela commençait à engendrer des frustrations. L’envie et la motivation étaient là mais le temps manquait. Aussi, conscient de l’enjeu stratégique pour l’orientation de sa pratique et du travail que demandait l’animation, il lui est apparu du réseau pour l’avoir géré lui-même, à l’automne dernier, nécessaire de pouvoir déléguer une partie de cette gestion. L’idée était toutefois de conserver cette compétence en interne, non seulement pour évoluer dans la continuité de ce qu’il avait construit jusqu’alors mais aussi car c’est à ses yeux la condition sine qua non d’une bonne circulation de l’information, d’un contrôle car qui dit déléguer ne veut pas dire se décharger et d’un suivi efficace de ses correspondants. Aussi, un nouveau poste a été créé au cabinet, celui de « coordinatrice ». La première étape a été d’en rédiger une description détaillée avec les missions à accomplir, d’autant que ce poste, évidemment, n’existe pas dans la grille du personnel des cabinets dentaires. L’étape suivante a consisté à rechercher la per­sonne pour l’occuper. Le personnel en place était déjà largement occupé dans la gestion quotidienne du cabinet avec des tâches et fonctions bien définies : une secrétaire, Simone, pour gérer l’accueil direct et téléphonique ainsi que la prise de rendez-vous et des encaissements courants, et deux assistantes, Laurence et Marie-Andrée, qui se partagent la gestion du pôle clinique et paraclinique.

Aussi, la personne pour le poste de coordinatrice fut toute trouvée : son épouse, Sabine. Être mari et femme et travailler ensemble, c’est pour beaucoup loin d’être une évidence. Et pourtant !

Docteur en médecine et déjà impliquée dans la vie du cabinet, Sabine Bleicher n’a pas hésité à relever le défi. Elle a su rapidement, prendre cette place et s’imposer comme l’interlocutrice privilégiée de son époux, d’un côté, et des correspondants, de l’autre. Elle est en charge aujourd’hui de toute la planification et de l’organisation des manifestations proposées aux correspondants, sans compter l’animation interne du cabinet pour le plus grand plaisir des patients et du personnel en place.

Conjointe salariée

Dotée d’un statut de salariée, Sabine Bleicher effectue plus de 200 heures par trimestre, condition indispensable d’une garantie de couverture optimale par l’Assurance maladie en cas de problème. Elle bénéficie également des modalités du télétravail offertes par la loi aux cabinets libéraux. En effet, sa fonction ne rend pas sa présence physique au cabinet obligatoire et lui demande de faire beaucoup de démarches à l’extérieur du cabinet pour l’organisation des différentes manifestations. Ce sont deux éléments importants que nous souhaitions porter à votre connaissance.

Aujourd’hui, c’est donc toute une équipe qui entoure Philippe Bleicher, une équipe animée par le souci de complémentarité et de partage vis-à-vis de ses correspondants avec, comme optique, de toujours proposer un service supplémentaire aux patients.

Tous nos vœux de réussite dans les nombreux projets à venir ! ?