INFORMATION
SONDAGE
Comment vous informez-vous ? Comment vous formez-vous ? Qu’attendez-vous de Clinic ?
Pour aller au plus près de vos préoccupations professionnelles, nous avons confié à l’agence Capsys la réalisation d’une enquête qui a été menée auprès d’un échantillon représentatif de nos lecteurs, entre les mois de mars et de mai 2010.
Leur moyenne d’âge est de 45 ans et ils exercent depuis 15 à 19 ans. Une grande partie d’entre eux (39 %) exerce dans des villes de 20 000 à 200 000 habitants, le tiers (33 %) est installé dans des villages et des zones rurales et 14 % dans des villes de moins de 20 000 habitants. Les villes de plus de 500 000 habitants n’en abritent que 10 %.
Le quart des praticiens interrogés exerce seul, 29 % avec une ou plusieurs assistantes et 44 % avec un ou plusieurs associés, et 10 % ont un autre mode de fonctionnement.
Malgré les nombreuses préoccupations professionnelles, le poids de la réglementation et des contraintes administratives ou encore les cotisations et les charges qui pèsent sur la rentabilité, la nécessité de se former ne fait aucun doute : 91 % des lecteurs pensent que se former est une façon d’évoluer ; 78 % y voient un moyen leur permettant d’apporter à leurs patients des soins en fonction de leurs besoins.
Pour ces confrères, la formation continue est « indispensable » car « la profession évolue tout le temps et il faut se mettre au courant des nouveautés pour bien travailler ». Un lecteur précise même que la formation continue est « ce qui pimente mon métier » et que, sans elle, « j’aurais arrêté depuis longtemps ».
Dans ces conditions, l’obligation de formation et le système des points mis en place intéressent peu la grande majorité des lecteurs qui n’a pas changé sa façon de se former. En bref, « on se forme pour soi, ce n’est pas un diktat ». Le système de points est même jugé obsolète « Je crois que c’est caduc ; je fais ce qui me semble utile et nécessaire ».
Le temps consacré chaque année à la formation est difficile à estimer et semble variable d’un praticien à l’autre : de 3 jours par an qui correspondent « au quota de points minimal à respecter » à 20 jours par an pour les plus « accros ».
Les lecteurs de Clinicconsacrent 6 jours pleins par an en moyenne à leur formation continue et placent au même niveau la formation présentielle (congrès, travaux pratiques, etc.) et la presse (fig. 1).
L’enquête menée auprès des abonnés et des désabonnés de Clinicrapporte que la revue a une très bonne réputation, tant pour la qualité des articles publiés que pour la charte graphique utilisée. Les lecteurs apprécient le niveau scientifique de la revue (92 %), son utilisation directe dans l’exercice de leur métier (92 %) et le fait qu’elle reflète l’ensemble de leurs préoccupations professionnelles (80 %). Le contenu généraliste, polyvalent et proche de la pratique quotidienne séduit. « Facilement transposable, c’est le critère principal ». « Dans beaucoup de revues, on parle de soins à la limite élitistes, c’est un peu lassant. Dans Clinic, on voit des cas concrets, on parle d’endodontie, de pédodontie, de chirurgie ». Ou encore, « c’est une grande source d’information de technologies, de techniques, de nouveautés, d’aménagement du cabinet, d’aspects pratiques… C’est une bonne référence pour l’omnipratique ». En outre, Clinic est un élément important de la formation continue pour 83 % des praticiens interrogés. Globalement, la perception de Clinic est très positive (fig. 2).
Corollaire de cette très bonne réputation, 95 % des lecteurs recommanderaient à un jeune confrère de s’abonner à Clinic.
La grande importance que le lectorat de Clinic accorde à la formation continue et à la qualité de cette formation conforte l’équipe de Clinic dans sa ligne éditoriale et sa volonté d’œuvrer pour encore l’améliorer.
Dans l’offre de formation, Internet apparaît comme un vecteur de formation continue très important pour un praticien sur quatre. Quatre praticiens sur 10 y recherchent de l’information.
Plus de la moitié des abonnés ont déjà visité le site des Éditions CdP, www.editionscdp.fr, au cours de la dernière année (fig. 3). Ce site, qui permet de consulter 12 années d’archives, est accessible gratuitement aux abonnés. Les internautes apprécient surtout de pouvoir y retrouver facilement un article (57 % d’entre eux), commander un ouvrage dans la librairie en ligne (39 %) mais aussi s’informer grâce aux actualités socioprofessionnelles (17 %).