ÉDITORIAL
Le contrôle de la plaque bactérienne par le patient est la clé du succès du traitement parodontal, mais aussi du maintien à long terme du résultat.
Nous avons constaté, depuis plusieurs décennies, une amélioration régulière du niveau d’hygiène de nos patients, accompagnée par les progrès de l’instrument principal qu’est la brosse à dents. Nous sommes passés de la brosse dure en poils de sanglier à la brosse souple en poils synthétiques, puis aux brosses...
Le contrôle de la plaque bactérienne par le patient est la clé du succès du traitement parodontal, mais aussi du maintien à long terme du résultat.
Nous avons constaté, depuis plusieurs décennies, une amélioration régulière du niveau d’hygiène de nos patients, accompagnée par les progrès de l’instrument principal qu’est la brosse à dents. Nous sommes passés de la brosse dure en poils de sanglier à la brosse souple en poils synthétiques, puis aux brosses électriques avec mouvement vertical ou horizontal. Et, grande évolution actuelle, la brosse à dents oscillo-rotative.
Le progrès, à mon avis, se situe à deux niveaux :
• le patient, après une courte période d’adaptation, ressent un confort dans l’utilisation et apprécie le résultat en constatant que « les dents sont beaucoup plus lisses ». La plupart des utilisateurs avouent ne pas pouvoir revenir à la brosse manuelle ;
• le praticien constate une bonne réduction de la présence de plaque, en particulier dans les zones difficiles d’accès, faces linguales et palatines.
La littérature scientifique confirme la supériorité de la brosse oscillo-rotative, à la fois dans l’efficacité [1] et la sécurité pour ne pas créer de récessions [2].
La brosse oscillo-rotative est un progrès maintenant incontournable !