Recherche documentaire

Rechercher
Sélectionner / Désélectionner tout

19 résultat(s) Trier par date Trier par pertinence

  • Une étude rétrospective est réalisée en cabinet privé sur des sujets partiellement édentés, traités par des restaurations implanto-portées au maxillaire et suivis en moyenne pendant 130 mois. Le taux de survie implantaire est de 99,42 %. La plupart des implants ne présentent aucune perte osseuse, laquelle, quand elle existe, se retrouve essentiellement chez les femmes et des patients aux antécédents de maladie parodontale. Dans les cas d’échec prothétique (25,2 %), toutes les prothèses ont été immédiatement remplacées. La susceptibilité parodontale et, pour les femmes, la période postménopausique favorisent une perte osseuse accrue mais n’affectent pas le taux de survie implantaire.
  • La douleur reste souvent corrélée aux soins dentaires. C’est parfois un motif de non-prise en charge ou de prise en charge retardée de nombreuses pathologies. Cependant, ces pathologies entraînent également des douleurs particulièrement mal ressenties par les patients. C’est sans doute pour ces raisons qu’un praticien attentif dans ses gestes, ses questions et ses protocoles établit d’emblée une relation de confiance avec ses patients. Certes, les progrès de l’anesthésie locale par infiltration sont démontrés. Encore faut-il, lors de sa réalisation, être attentif pour entrer dans la catégorie des praticiens qui « ne font pas mal ». Cette attention envers son patient, c’est un « petit rien » qui signe la noblesse d’une profession de santé.
  • Le foramen mentonnier, à travers lequel émerge le nerf mentonnier, est un repère anatomique important en odontostomatologie. La connaissance de ses variations anatomiques, selon l’âge et selon les ethnies, est indispensable lors de la réalisation d’une anesthésie locale et locorégionale, ou lors de chirurgies implantaires, parodontales et orthognatiques. Outre la présence d’un foramen surnuméraire et les variations de sa localisation, de nombreuses topographies ont été décrites telles que des foramina triples, des hypoplasies ou des agénésies unilatérales ou bilatérales. Le cas présenté ici est extrêmement rare. Il concerne un patient vivant et asymptomatique dont le scanner témoigne d’une absence bilatérale de foramen mentonnier. À travers ce cas, les différentes situations cliniques qui pourraient se manifester lors d’une telle variation anatomique sont résumées.
  • Deux précédentes études ont validé un protocole de stérilisation (destiné à un contexte professionnel) et un protocole de décontamination/assainissement (destiné à un contexte domestique) des brosses à dents Inava® et ceci sans altération des propriétés mécaniques de la brosse à dents. L’objectif de cette étude complémentaire est de valider le protocole de décontamination/assainissement sur des espèces bactériennes et virales d’intérêt médical pouvant être responsables d’infections ou de surinfections notamment au sein de populations dites à risque.
  • Le taux élevé de survie des implants a été démontré à travers de nombreuses études. Cependant, parmi les implants en survie, tous ne sont pas des succès implantaires. Pour être considérée comme un succès, la réhabilitation implanto-prothétique doit répondre aux attentes esthétiques et fonctionnelles du patient, elle doit être asymptomatique et, surtout, chaque implant doit maintenir son niveau d'ostéo-intégration. Or, dans certaines conditions, il est possible d'observer une perte progressive de celle-ci. La surcharge occlusale et l'infection péri-implantaire sont considérées comme les responsables majeures de la désostéo-intégration. Cet article aborde ces aspects à partir d'une analyse de littérature.
  • La maintenance est déterminante pour le succès à long terme de l’ostéo-intégration. Elle doit être assurée par le patient et par le praticien. Son but est de préserver la santé des tissus péri-implantaires en évitant les complications ou les échecs secondaires. Malheureusement, il n’est pas toujours facile pour les patients, même pour ceux à qui on l’a appris, de parfaitement contrôler la plaque sous leur prothèse supra-implantaire. Cet article décrit la réalisation d’un type de prothèse permettant une maintenance implantaire facilitée pour les patients.
  • Le Pr Bränemark, en 2005, définissait encore l'édenté complet comme un amputé oral, un invalide auquel il fallait prêter la plus grande attention. Pour une personnalité aussi reconnue et respectée que le Pr Bränemark et d'autres en 2005, la réhabilitation de l'édenté complet était un objectif de...
  • Dans la pratique quotidienne de l’implantologie orale, les complications implantaires représentent un événement relativement fréquent. Même si elles n’aboutissent que rarement à la perte de l’implant (0-8,3 % des implants posés [1]), cet événement reste néanmoins désagréable tant pour le...
  • L’édentement total fait partie des 25 handicaps avec lesquels les individus vivent le plus longtemps tout en altérant la qualité de vie d’un point de vue fonctionnel mais également psychologique [1]. Comme le souligne une abondante littérature en rapport avec l’évaluation subjective du résultat...
  • L’édentement total fait partie des 25 handicaps avec lesquels les individus vivent le plus longtemps tout en altérant la qualité de vie d’un point de vue fonctionnel mais également psychologique [1]. Comme le souligne une abondante littérature en rapport avec l’évaluation subjective du résultat...
  • L’agénésie des incisives latérales maxillaires est une anomalie congénitale relativement fréquente. L’approche esthétique et fonctionnelle des patients est directement dépendante de la précocité du diagnostic. Le défi est de proposer, à la fin du traitement orthodontique, une réhabilitation ad integrum, pérenne et si besoin évolutive. Quelle est la place de la solution implantaire dans le parcours de soins patient ? À quel l’âge pouvons-nous implanter ? Comment obtenir une réhabilitation implantaire biomimétique ?
  • La prise en charge de l’absence d’une ou de plusieurs dents dans la région incisive mandibulaire représente toujours un défi délicat pour le praticien. Bien que moins exposée sur le plan esthétique par rapport au maxillaire, cette zone amène son lot de difficultés et pièges (anatomiques et...
  • La prothèse amovible complète supra-implantaire est une option thérapeutique fiable chez le patient édenté complet. Après la réalisation de la prothèse, et pour ne pas en priver le patient, la mise en place des attachements peut se faire directement au fauteuil. Protocole à suivre…
  • L’amélioration des soins dentaires au cours du siècle dernier permet aujourd’hui aux patients de conserver leurs dents tout au long de leur vie. Malgré tout, le vieillissement de la population suppose un nombre croissant de personnes édentées. Pas moins de 2 milliards de personnes de plus de 60 ans...
  • L’édentement complet représente un véritable handicap fonctionnel, social, et psychologique [1] qui doit profiter des avancées technologiques dans la science des matériaux et la biomécanique ainsi que dans la compréhension des phénomènes biologiques. Le recours aux implants devient une option...
  • 1989 : c’est à cette date qu’il faut remonter pour apprécier les premiers guides chirurgicaux en implantologie orale. Le principe breveté par un prothésiste dentaire [1] consistait en l’élaboration d’un gabarit en résine, avec déjà des canons de forages calibrés aux ancillaires, permettant...
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • La péri-implantite est définie comme une pathologie multifactorielle, induite par la plaque et entraînant une perte osseuse péri-implantaire plus ou moins rapide. Il s’agit de la complication implantaire la plus fréquemment rencontrée : elle toucherait 10 % des implants et 20 % des patients dans les 5 à 10 ans après leur pose [1]. De nombreuses études cherchent à en comprendre les mécanismes d’apparition et d’évolution, mais il reste de nombreuses interrogations, en particulier sur les facteurs de risques. Ils sont nombreux à avoir été identifiés, dont les surcharges occlusales, qui apparaîtraient comme la première cause d’échec implantaire retardé [2]. Mais le lien avec les pertes osseuses est souvent difficile à définir et quantifier.
  • La sûreté, l’efficacité et l’acceptabilité d’une brosse à dents électrique oscillo-rotative ont été évaluées chez des patients porteurs de prothèses implanto-portées. Cent patients âgés de 18 à 80 ans (âge moyen : 56,3 ; 51 femmes) répondant aux critères d’inclusion ont participé...