Recherche documentaire

Rechercher
Sélectionner / Désélectionner tout

8 résultat(s) Trier par date Trier par pertinence

  • L'évolution de la structure et de la composition des composites a conduit à l'apparition des matériaux dits « bulk fill » qui sont spécifiquement conçus pour une mise en place en masse et une simplification du protocole d'utilisation. Toutefois, de tels matériaux doivent conserver des propriétés...
  • L'évolution de la recherche sur les adhésifs a permis de réduire le nombre d'étapes en regroupant certains produits dans un seul flacon. Depuis 2011, le marché des adhésifs s'est enrichi d'un genre nouveau, permettant son utilisation quelle que soit la restauration à coller : les adhésifs universels....
  • Le marché français des dentifrices rassemblait fin 2020 plus de 3 100 produits différents selon l’association UFC-Que Choisir (rapport disponible sur quechoisir.org). Ils peuvent être vendus en grandes surfaces, en (para) pharmacies ou encore sur internet. Ils vantent tous des propriétés différentes...
  • Prendre en charge des dents atteintes de fluorose constitue un défi pour les chirurgiens-dentistes qui prennent en charge les patients avec un motif de consultation esthétique. Parmi les techniques proposées, la micro-abrasion amélaire est une thérapeutique minimalement invasive qui trouve notamment son indication pour les cas de fluorose légère à modérée. Elle peut être couplée à d’autres thérapeutiques comme l’éclaircissement externe en ambulatoire pour des résultats esthétiques optimaux.
  • La restauration d’une dent délabrée en méthode indirecte place le praticien devant le difficile choix du type de recouvrement à envisager et du mode d’assemblage à privilégier. L’arbre décisionnel de réhabilitation de l’organe dentaire renvoie au gradient thérapeutique proposé par Gil Tirlet et Jean-Pierre Attal dès la fin des années 2000 [1]. Le traitement de premier choix, face à une perte de substance importante impliquant une ou plusieurs cuspides, est la restauration indirecte collée, réalisée, au cabinet ou au laboratoire de prothèses, après empreinte physique ou numérique. Contrairement à une restauration en méthode directe, elle permet un contrôle précis du profil d’émergence, d’une occlusion pérenne et des points de contact de la dent à reconstruire. L’utilisation d’une résine composite en méthode directe est cependant tout à fait indiquée dans de nombreuses situations cliniques car elle présente de nombreux avantages : une restauration de 1,5 à 2 mm peut être réalisée facilement au fauteuil en une seule séance. Les propriétés mécaniques sont proches de celles des tissus dentaires [2] et leur taux de survie est très bon jusqu’à plus de 10 ans [3] si le protocole de collage est respecté. Cependant, le respect de l’anatomie et le contrôle du point de contact ou du profil d’émergence restent difficiles à gérer. Ainsi, lorsqu’il faut réhabiliter plusieurs quadrants ou modifier l’occlusion, ou encore lorsque la restauration nécessite un recouvrement cuspidien, la restauration indirecte devient alors plus évidente pour le clinicien.
  • POPULATION Les 422 patients venus dans les services hospitaliers, inclus dans cette étude, étaient des adultes qui consultaient pour la première fois (80 %) ou pour un contrôle (20 %) (figure 1). La tranche d’âge des jeunes de 18 à 29 ans représentait 30 %, celle des personnes de 30 à 59 ans...
  • Peu de données récentes sont disponibles sur l’état de santé bucco-dentaire des adultes français. Alors que l’indice CAOD était jusqu’alors en constante diminution, d’autres pathologies comme les érosions dentaires ou encore les hypominéralisations molaires-incisives ont vu leur prévalence...
  • Pr Raphaël DEVILLARD, chef du Service de Médecine bucco-dentaire du CHU de Bordeaux. Comment s’est organisée cette formidable mobilisation bordelaise ? La recherche clinique est une formidable opportunité pour souder une équipe autour d’un projet clinique. Les investigateurs sont encore plus...