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  • C'est probablement la question que l'on m'a posée le plus fréquemment depuis mon retour ! Au cours de ces deux années inoubliables, j'ai connu la vie du chercheur à l'étranger, de l'enseignant et de l'exercice privé. J'ai eu la chance incroyable de travailler dans l'équipe du Pr A.J. Smith, leader...
  • Irrigation manuelle pendant la phase d’instrumentation L’efficacité et la sécurité de l’irrigation canalaire seront fonction du mode d’injection des solutions dans le canal [1]. La méthode d’irrigation la plus simple consiste à introduire la solution dans les canaux à l’aide d’une seringue...
  • Les traumatismes bucco-dentaires se traduisent très souvent par des complications endodontiques et parodontales. Chez l’enfant, où les traumatismes battent leur plein, le choix du bon médicament appliqué au bon moment est crucial.
  • En odontologie, les premières applications d’ingénierie tissulaire ont concerné la régénération tissulaire guidée et les biomatériaux dits de comblement. Depuis quelques années, l’endodontie s’y intéresse et les procédures cliniques se précisent [1]. Les pôles de recherche ont la nécessité constante de connaître l’état d’avancement des connaissances des omnipraticiens sur le sujet afin d’adapter les thèmes de leurs recherches, la diffusion des informations, les protocoles cliniques et les formations postuniversitaires.Ce travail avait pour objectif d’évaluer l’intérêt des omnipraticiens pour la régénération tissulaire en endodontie en 2013 et a été réalisé dans le cadre d’une thèse d’exercice.
  • Les cellules souches… tout le monde en entend parler. Mais sait-on pour autant exactement de quoi il s’agit ? L’objectif de cet article est de rappeler brièvement ce qu’est une cellule souche et de définir les spécificités des niches pulpaires.
  • La proportion de patients dits à risque a augmenté en raison des innombrables progrès médicaux accomplis au cours des dernières décennies. Ces patients, à cause de la présence de pathologies chroniques, d’une condition particulière ou encore du traitement subi (chimiothérapie, radiothérapie, bisphosphonates, immunosuppresseurs), doivent bénéficier de mesures thérapeutiques particulières. L’endodontie n’y fait pas défaut et une prise en charge inadéquate pourrait s’accompagner de conséquences cliniques sévères et dommageables. Cet article vient compléter celui publié dans le numéro de Clinic d’octobre 2015 en abordant les risques associés à la thérapeutique médicamenteuse dont bénéficient certains patients, ainsi que les stratégies thérapeutiques qu’elles imposent en endodontie.
  • Depuis l’apparition sur le marché, en 1995, des premiers instruments de rotation continue en nickel-titane, de nombreux systèmes ont vu le jour. Malgré des concepts et des formes différentes, chacun a trouvé sa place et généré des adeptes. L’ensemble de ces instruments permet d’atteindre les...
  • Issus de la moelle osseuse, les ostéoclastes sont très impliqués dans l’homéostasie osseuse et sont sous la dépendance des ostéoblastes. Dans les conditions physiologiques, l’espace desmodontal sépare la dent de l’os alvéolaire et permet de protéger la surface dentaire sous-jacente, limitant...
  • La LIPOE (lésion inflammatoire périradiculaire d’origine endodontique) provient d’un processus inflammatoire engendrant une destruction des tissus durs périradiculaires dont l’étiologie est la présence d’agents irritants au niveau endodontique. L’objectif de ce texte est de détailler simplement les processus impliqués dans le développement d’une lésion d’origine endodontique afin de mieux la comprendre et, surtout, de mieux appréhender les voies thérapeutiques nécessaires pour la soigner.
  • L’injection d’hypochlorite de sodium au-delà du périapex est un accident rare mais impressionnant qui peut survenir au cours d’un traitement endodontique. Le patient ressent une douleur intense et un hématome apparaît immédiatement. L’objectif de cet article est de rappeler les recommandations permettant de prévenir ce type d’accident et de décrire la prise en charge médicale à instaurer.
  • Si les principes de l’endodontie ont finalement peu évolué depuis presque une quarantaine d’années, les évolutions techniques et matérielles se font de plus en plus inventives. De plus en plus de praticiens sont persuadés que le futur de l’endodontie sera « sans instrument ». Les investigations vont donc bon train et si l’ingénierie tissulaire commence à remplir les esprits et à se présenter comme une évolution prometteuse, beaucoup de problèmes restent à contourner et à élucider ; les vrais objectifs à atteindre sont encore à établir. En attendant cette heure de l’endodontie biologique, les instruments continuent à se perfectionner et les derniers systèmes en date ont franchi le seuil psychologique de « l’instrument unique ».
  • L’intérêt de l’utilisation d’instruments combinée à une solution d’irrigation en endodontie est aujourd’hui largement démontré. Parallèlement à la mise au point de nouveaux systèmes de mise en forme, les recherches sur l’irrigation et la désinfection en endodontie continuent.L’objectif de cet article est de faire le point sur les solutions d’irrigation actuellement préconisées et les moyens qui permettent d’optimiser la qualité de la désinfection.
  • Les progrès médicaux réalisés au cours des dernières décennies ont non seulement accru l’espérance de vie de la population mais se sont également accompagnés d’une augmentation de la proportion de patients dits à risque. Ces patients, en raison de la présence de pathologies chroniques (VIH, diabète, lésion de l’endocarde), d’une condition particulière (prothèse valvulaire, prothèse articulaire) ou encore du traitement observé (chimiothérapie, radiothérapie, bisphosphonates, immunosuppresseurs), doivent bénéficier de mesures thérapeutiques particulières. L’endodontie n’y fait pas exception et une prise en charge inadéquate pourrait s’accompagner de conséquences cliniques sévères et dommageables pour le patient. Se maintenir informé des situations et contextes médicaux devant faire l’objet d’une adaptation des protocoles opératoires est nécessaire. Ce sujet important et complexe sera traité en deux temps, par deux articles successifs. Dans ce premier volet, les pathologies générales fréquemment rencontrées seront abordées, ainsi que les stratégies thérapeutiques qu’elles imposent, avant d’envisager un traitement endodontique.
  • Dans cette rubrique intitulée « Endo… autrement », il n’est pas forcément inutile de revenir aux fondamentaux… C’est l’objectif de cet article qui rappelle, étape par étape, les procédures cliniques qui permettent de mener un traitement endodontique à son terme dans les meilleures conditions. Sans forcément rentrer dans le détail, il insiste sur le fait que c’est la validation des étapes successives, les unes après les autres, qui conduit au succès et qu’une seule approximation peut nuire aux procédures suivantes et être responsable d’un échec global.
  • La résorption interne inflammatoire est une pathologie considérée comme rare. Elle est probablement plus fréquente sur les dents présentant une inflammation ou une nécrose pulpaire que sur les autres, mais les difficultés de diagnostic font qu’elle est rarement détectée. Cependant, la précision du diagnostic conditionne le traitement et son pronostic.
  • Le nombre de séances (une ou deux) pour le traitement endodontique des canaux infectés demeure un sujet controversé dans la littérature médicale. Pour aborder cette question et essayer de se faire une opinion, il convient de comprendre la vraie problématique. S’agit-il d’un problème technique ou biologique ? Ce document a pour objectif de détailler les faits de la discorde et d’essayer d’apporter des éléments de réflexion, sans pour autant dicter une approche systématique.
  • Il y a quelques semaines, nous décrivions dans cette rubrique l’utilisation de trois systèmes de préparation endodontique [1] ne comprenant qu’un seul instrument. Parmi les trois présentés, le Self Adjusting File (SAF®) permet d’appréhender le nettoyage du canal de façon complètement différente, en sortant des principes fondés sur la conicité. Il nous a semblé pertinent de revenir sur cet instrument particulièrement innovant.
  • Les travaux de Kakehashi et al. [1], dès 1965, ont permis de confirmer l’origine bactérienne de la parodontite apicale, origine suspectée depuis la fin du XIXe siècle par l’américain Miller [2]. Les procédures thérapeutiques doivent ainsi être dirigées vers la réduction maximale de la population...
  • Le traitement de la dent immature par revascularisation est de plus en plus proposé comme une option thérapeutique intéressante. Depuis un premier article publié dans ces colonnes en 2010 [1], les nombreuses publications scientifiques et cliniques ont permis de mieux comprendre les processus de...
  • La chirurgie dentaire n’échappe pas aux progrès de la médecine moderne et l’ingénierie tissulaire fait désormais partie de notre arsenal thérapeutique. L’accumulation de nos connaissances à propos des cellules souches et de leur possible manipulation ouvre quotidiennement de plus en plus de portes vers une odontologie plus biologique et plus pharmacologique. Sans vouloir écarter complètement nos instruments rotatifs et autres fraises, il nous semble de plus en plus nécessaire de concevoir une dentisterie et, notamment une endodontie, différente et résolument plus moderne.
  • L’endodontie est souvent considérée comme un « simple » problème de mise en forme, de désinfection et d’obturation canalaire. Si ces étapes sont primordiales pour un clinicien, il est également essentiel de considérer les autres facettes de la discipline, à savoir le diagnostic, le pronostic, la douleur, les thérapeutiques innovantes, etc.Dans cette nouvelle rubrique, nous nous appliquerons à aborder des sujets souvent mal connus, et tenterons d’aborder l’endodontie d’une autre façon. Le traitement endodontique permet de désinfecter le système endodontique, mais la complexité de l’acte empêche d’obtenir une guérison dans 100 % des cas. La chirurgie apicale est alors un excellent complément. Une autre thérapeutique consistant à retraiter la dent par sa partie apicale permet d’allier les avantages des deux méthodes. Ses avantages et inconvénients sont décrits ici.
  • Le 12 septembre dernier se tenait la première cérémonie de remise des diplômes aux étudiants ayant suivi l’enseignement du diplôme universitaire européen d’endodontologie (DUEE) de l’université Paris Diderot (Paris 7). À cette occasion, nous recevions l’équipe enseignante du programme...
  • Pour mener un traitement endodontique dans de bonnes conditions, le « silence opératoire » est un prérequis indispensable pour le confort à la fois du patient et de l’opérateur. Le statut inflammatoire de la pulpe est un élément limitant l’effet des molécules anesthésiques. Associé aux spécificités anatomiques des maxillaires (notamment à l’épaisseur de l’os cortical de la mandibule), cela complique parfois de façon considérable l’obtention d’une anesthésie profonde. L’injection intraosseuse peut s’avérer être une solution intéressante.
  • Le traitement endodontique est une succession d’étapes. De la précision de la réalisation de chacune d’elles dépend le résultat final. La détermination de la longueur du canal et le choix de la longueur de travail correspondent à une étape.Cet article est la finalisation d’un séminaire d’enseignement du Diplôme universitaire européen d’endodontologie (DUEEC) (Université Paris Diderot) et du Master POA parcours endodontie. Sur le format d’un enseignement « classe inversée », les étudiants ont été invités à rédiger cet article par un travail collaboratif encadré (fig. 1 et 2).
  • L’inflammation pulpaire, synonyme de douleur pour le patient, est encore associée à la nécessité de dépulper. Or, les récentes avancées de la biologie pulpaire montrent que l’inflammation pulpaire est nécessaire, car liée à la capacité de réparation pulpodentinaire. Ces avancées bouleversent progressivement le paradigme qui associe inflammation et « dépulpation ».