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  • Dix ans sont passés entre la précédente version de ces recommandations et celle-ci. Que s’est-il passé durant cette période qui puisse justifier cette actualisation ? Plusieurs avancées scientifiques dans des domaines très ciblés d’abord, et un souci d’efficacité dans leur mise en œuvre par...
  • MOTIF DE CONSULTATIONUne patiente de 42 ans est adressée par son dentiste traitant pour une lésion interdentaire entre 46 et 47 évoluant depuis plusieurs mois. DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE La patiente ne présente pas d’antécédents médico-chirurgicaux notables. Aucune intoxication éthylo-tabagique n’est...
  • La luxation antérieure du condyle mandibulaire constitue une situation peu fréquente au cabinet dentaire mais toujours spectaculaire. Cependant, sa prise en charge doit être réalisée au fauteuil le plus précocement possible. En effet, il faut agir avant que la contracture des muscles masticateurs n’apparaisse et ne rende la réduction difficile. Cet article a pour but d’illustrer la prise en charge de cette urgence à l’aide d’un traitement mécanique, la manœuvre de Nélaton.
  • Les canines maxillaires sont les dents les plus fréquemment incluses après les troisièmes molaires et concernent de 1 à 3 % de la population. Compte tenu de leur intérêt fonctionnel et esthétique majeur, leur mise en place sur l’arcade est souhaitable. Pour y parvenir, une prise en charge pluridisciplinaire, impliquant une coopération étroite entre la chirurgie orale et l’orthodontie, est souvent nécessaire.
  • Les chirurgiens-dentistes sont régulièrement confrontés à des patients signalant des antécédents d'angor ou d'infarctus du myocarde lors du questionnaire médical initial. Les traitements médicamenteux de ces pathologies doivent être pris en compte car ils ont une incidence sur la pratique des soins bucco-dentaires. Mais comment faut-il réagir lorsque des incidents coronaires aigus surviennent au cabinet dentaire ? Comment les reconnaître ? Comment les prendre en charge ?
  • L’« imprimatur » donné par un collègue médecin, généraliste ou spécialiste, est encore (et toujours) bien ancré dans nos mœurs pour la prise en charge odontostomatologique de nombreux patients présentant divers troubles de santé. Et pourtant, est-ce réellement toujours bien pertinent ?...
  • Dans sa pratique quotidienne, le chirurgien-dentiste peut être confronté à des réactions allergiques. Certaines sont mineures et bénignes, tandis que d’autres sont susceptibles de mettre en jeu le pronostic vital du patient. Chaque praticien doit connaître les risques inhérents aux produits et aux matériels qu’il utilise et être à même de prendre en charge efficacement un patient présentant une réaction allergique grave dans son cabinet.
  • « Hors le seul cas de force majeure, tout chirurgien-dentiste doit porter secours d’extrême urgence à un patient en danger immédiat si d’autres soins ne peuvent lui être assurés. » Cet article du Code de la santé publique reflète l’obligation pour l’odontologiste de porter assistance à son patient. S’il s’en abstient, il s’expose à des sanctions non seulement disciplinaires mais également pénales.
  • Le parage alvéolaire permet l’élimination de tous les éléments qui vont gêner la mise en place dans l’alvéole d’un caillot de bonne qualité. Ce dernier sera le garant de la cicatrisation des tissus muqueux et osseux en trois étapes : phase inflammatoire, cicatrisation muqueuse, et enfin cicatrisation osseuse. Le praticien doit préparer son geste par un examen clinique et radiologique qui évalue les éléments d’intérêts durant l’intervention : tissus à éliminer et structures anatomiques à éviter. Enfin, celui-ci doit se donner les moyens de contrôler son geste : éclairage, abord permettant un accès visuel direct et aides optiques représentent pour cela des outils efficaces.
  • Un patient de 39 ans, hospitalisé en dermatologie pour une poussée de pemphigus vulgaire connu depuis 2013, est adressé pour une recherche de foyer infectieux avant l’instauration d’un traitement par azathioprine, molécule hautement immunosuppressive.
  • PLATEAU TECHNIQUE EN CHIRURGIE ORALE
    Ce guide est le fruit de l’expérience professionnelle personnelle de l’auteur, praticien hospitalier au CHU de Rouen, exerçant exclusivement la chirurgie orale en milieu hospitalier. L’émergence d’une spécialité, une réglementation parfois ignorée, des innovations matérielles permanentes...
  • Tout d’abord, il convient de saluer haut et fort la parution d’un ouvrage sur ce thème dans notre domaine professionnel tant le recours à la chirurgie ambulatoire, voire à l’anesthésie générale, apporte un bénéfice réel pour le patient et reste pour la plupart des praticiens un recours de...
  • L’ANALYSE
    La douleur constitue depuis la nuit des temps un des motifs de consultation électif de notre domaine professionnel. C’est bien simple, on a l’impression d’un puits sans fond et, sans cesse sur le métier, il faut remettre l’ouvrage. Coordonné par Vianney Descroix, ce livre devrait constituer un atout important dans la prise en charge du patient douloureux.
  • Lorsque Anne Boulanger et Charles de Tessières m’ont proposé de coordonner ce numéro de Clinic dévolu à la Faculté de Chirurgie Dentaire de Nantes (UFR d’Odontologie pour les puristes), je n’ai pas hésité bien longtemps à relever ce défi. Par amitié d’abord (ce qui n’est certainement pas...
  • Cet ouvrage, écrit par trois enseignants hospitalo-universitaires aux compétences reconnues, est consacré aux examens biologiques sanguins de première intention utiles à l’exercice d’une chirurgie dentaire médicalement consciente. Il aborde successivement la façon de les prescrire et de les...
  • Consacrer un numéro entier à la chirurgie orale au quotidien à l’orée de la promulgation d’un internat qualifiant dans ce domaine1 est un pari qui peut sembler anachronique, voire provocateur. En apparence seulement, car la demande en soins chirurgicaux buccaux est telle qu’elle dépasse largement...
  • L’ANALYSE
    Le titre volontairement provocateur de cette analyse illustre simplement ma première impression à la lecture de cet ouvrage exhaustif. Bien sûr, des limites tant du côté du praticien que de celui du patient viennent rapidement et rationnellement pondérer cette impres sion. Mais il faut quand même se...
  • MÉMENTO
    Comme tout professionnel de santé, tout chirurgien-dentiste sera confronté au cours de son exercice à des situations dites d’urgence médicale, sans que le pronostic vital du patient soit forcément engagé. L’objectif principal de ce mémento est de guider le praticien pour faire face à ces situations particulières
  • L’ANALYSE
    Clairement, cet ouvrage est consacré à un véritable problème de santé publique puisque la France est malheureusement l’un des pays au monde où la morbidité et la mortalité dues aux cancers des muqueuses orales sont les plus importantes. Même si l’incidence de ces cancers est en régression, tout...
  • Un homme de 23 ans consulte dans le cadre d’un bilan bucco-dentaire de routine. À l’interrogatoire, ce patient ne rapporte aucun antécédent médical ou chirurgical. Il est fumeur : 1 paquet de cigarettes par jour depuis 5 ans. L’examen clinique exobuccal ne révèle rien de particulier. L’examen endobuccal dentaire retrouve la présence de plusieurs lésions carieuses nécessitant des soins conservateurs. L’observation clinique des muqueuses met en évidence une lésion isolée au niveau du palais en regard de la 12. Il s’agit d’une lésion arrondie, pédiculée, présente depuis plusieurs mois selon le patient, indolore et d’aspect papillomateux. D’environ 1 cm de diamètre, cette lésion est légèrement ferme. Le patient rapporte quelques rares épisodes de saignement à la stimulation mécanique. La muqueuse avoisinante est d’aspect normal (fig. 1).
  • Un patient âgé de 30 ans sans antécédents médico-chirurgicaux particuliers ni addiction alcoolo-tabagique ni traitement médicamenteux en cours consulte en urgence en mai 2017 car il s’inquiète de l’évolution rapide d’une lésion gingivale hypertrophique mandibulaire droite.
  • Un patient de 40 ans consulte pour réparation d’un crochet de sa prothèse amovible partielle maxillaire (fig. 1 et 2).
  • Un patient de 58 ans consulte en raison d’une gêne indolore occasionnée par la présence d’une lésion exophytique de petite taille évoluant au niveau du voile du palais gauche depuis quelques années (fig. 1).
  • Une femme de 72 ans, édentée totale portant une prothèse bi-maxillaire, consulte initialement pour des douleurs linguales à type de brûlure et pour une gêne sous-prothétique associées à une hyposialie particulièrement gênante la nuit.
  • Une femme de 89 ans consulte pour une douleur dans le secteur 4 persistant depuis 6 mois, associée à tuméfaction génienne basse d’apparition récente. Parmi ses antécédents médico-chirurgicaux, on retrouve principalement la pose d’une prothèse totale de hanche droite il y a de nombreuses années, un reflux gastro-œsophagien traité par inhibiteur de la pompe à protons et un syndrome anxio-dépressif traité par antidépresseurs tricycliques.