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  • L’empreinte en prothèse implantaire constitue toujours une étape délicate de la thérapeutique. En effet, les préparatifs sont longs, les matériels et matériaux mis en œuvre sont multiples, les difficultés techniques nombreuses. Lorsqu’il intervient, l’échec est d’autant plus mal ressenti...
  • Les praticiens de l’unité fonctionnelle d’implantologie orale (UFIO) du CHU de Clermont-Ferrand publient régulièrement dans des revues internationales mais ils s’attachent également à contribuer à des revues françaises de bon niveau dont la notoriété et la diffusion dépassent largement les...
  • La connexion entre le pilier et l’implant est bien plus que le simple moyen de solidariser les éléments prothétiques aux implants car elle participe à la pérennité du traitement en assurant durablement la transmission des contraintes occlusales à l’implant et aux tissus de soutien. Le choix du type de connexion est donc stratégique. Preuve en est le foisonnement d’architectures spécifiques proposées par les fabricants. Mais toutes les connexions ne se valent pas. Leur design et la qualité de leur fabrication déterminent leur comportement mécanique et leur influence sur les tissus péri-implantaires.
  • Lorsque le praticien prothésiste entreprend la réalisation d’une prothèse plurale fixée sur implant, un de ses défis est de mettre en place une armature passive et adaptée. Si la plupart des praticiens impliqués dans les thérapeutiques implantaires sont conscients de cette nécessité, peu ont une vision claire de cette problématique en réalité plus compliquée qu’elle ne paraît. Pourtant, l’inadaptation et le manque de passivité des armatures prothétiques ont de lourdes conséquences sur la pérennité des thérapeutiques implanto-prothétique. Entre passivité et adaptation, quels sont les concepts, les enjeux, et la pratique clinique ?
  • Les thérapeutiques implanto-prothétiques occupent désormais une place de choix dans les traitements des patients partiellement ou complètement édentés [1, 2]. Cependant, ces traitements ne sont pas exempts de complications. En effet, la survie à long terme des reconstructions implanto-prothétiques montre que leur taux de succès est, mis à part les facteurs biologiques [3, 4], affecté par des facteurs biomécaniques et prothétiques [5, 6] où la répartition, l’intensité et l’orientation des contraintes occlusales sont déterminantes. Dans ce marché dynamique et concurrentiel où les fabricants ont multiplié les innovations, bien peu d’entre eux se sont préoccupés de fournir aux praticiens la formation et les moyens d’enregistrer la position relative entre l’arcade maxillaire et mandibulaire à la dimension verticale d’occlusion (DVO). Pourtant, la reconstruction d’une occlusion d’intercuspidation maximale (OIM) stable et équilibrée, où les contraintes occlusales sont harmonieusement réparties sur toute l’arcade, est le prérequis indispensable à la pérennité des traitements.