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  • La gestion de l'occlusion, étape finale de nos actes, peut poser de multiples interrogations quant à la localisation et à l'intensité des contacts à (re)créer. Pourtant, quelques connaissances de base ainsi que le respect d'un protocole simple peuvent apporter sérénité, plaisir et satisfaction du...
  • Notre pratique évolue, Les Éditions CdP aussi, en lançant une nouvelle revue qui rassemble les incontournables Clinic, JPIO, Implant et Cahiers de prothèse. Son nom : CLINIC, le même nom bien connu d’une des précédentes, avec un contenu entièrement renouvelé, pour un plaisir...
  • ACTUALITÉS ET PERSPECTIVES Solution de choix, les couronnes céramo-métalliques (CCM) et céramo-céramiques sur armature zircone (CCCZr) sont encore les plus fréquemment utilisées [1]. Avec un taux de survie (défini comme prothèse restant in situ, avec ou sans modification pendant toute la période de...
  • La prise en charge des dysfonctions relève principalement de la compétence de l’occlusodontiste, voire de l’omnipraticien, quand elles n’ont pas une originetraumatique ou systémique. Il est important d’établir un diagnostic précis avant de mettre en oeuvre un projet thérapeutique et cela suppose...
  • Bien que le recours aux orthèses (gouttières) occlusales soit parfois remis en cause, cela reste indéniablement un outil de choix dans la prise en charge des DTM. Très intéressantes de par leur aspect évolutif et réversible, elles sont en général efficaces à condition de respecter certains critères de conception et de se fixer les bons objectifs.
  • À l’heure où la CFAO prend de plus en plus de place dans l’exercice quotidien, il reste des indications de restaurations directes qui permettent de mettre en pratique le côté artistique de la profession, en recréant une face occlusale s’intégrant dans l’occlusion statique mais aussi dynamique du...
  • Dès lors que le diagnostic d’agénésies des incisives latérales maxillaires est posé, des échanges pluridisciplinaires sont nécessaires afin d’évaluer principalement le ratio bénéfices/risques des trois solutions envisageables, à savoir l’abstention thérapeutique, la fermeture orthodontique des espaces ou l’ouverture de ceux-ci en vue d’une réhabilitation prothétique. L’occlusodontiste pourrait/devrait alors être contacté afin de mettre en avant les conséquences fonctionnelles de chacune des thérapeutiques possibles, soulever d’éventuelles contre-indications et proposer des protocoles de prise en charge afin d’optimiser les chances d’adaptation fonctionnelle future et de pérennité de la restauration le cas échéant.
  • Entre 8 et 31 % de la population présenterait [1] un bruxisme nocturne dit « sévère », c’est-à-dire susceptible d’entraîner des conséquences dentaires, parodontales, musculoarticulaires, voire posturales. Plusieurs types de bruxismes nocturnes ont été décrits, chacun ayant ses propres manifestations cliniques et des répercussions différentes. Si le traitement de choix est idéalement préventif en tentant de dépister et de gérer au mieux les étiologies, il s’avère parfois nécessaire, en complément, de prévenir ou de limiter les conséquences du bruxisme nocturne. Les orthèses occlusales sont un des outils à notre disposition, leur utilisation méritant une mise au point sur les impératifs, leur réalisation ainsi que la maintenance. D’autres options de prise en charge sont également exposées.
  • Un suivi dentaire rigoureux doit permettre de dépister précocement, c’est-à-dire en denture mixte, une agénésie des incisives latérales (AIL) maxillaires. Un dépistage précoce placera le praticien et le patient dans la situation la plus favorable pour appréhender ces situations complexes à gérer....
  • Lorsqu’une dent du secteur esthétique maxillaire ne peut être conservée et qu’une réhabilitation implantaire est envisagée, il est indispensable de réaliser préalablement un examen clinique complet ainsi que des examens radiologiques 2D et 3D. Ces prérequis rendent la logistique plus complexe...
  • NOTION DE PATIENTS À RISQUE Peuvent être considérés « à risque » les patients susceptibles d’avoir des difficultés, voire une incapacité, à s’habituer au changement de DVO de façon durable. Si un inconfort ou des symptômes sont parfois signalés par les patients ayant bénéficié d’une...
  • Une perte de calage postérieur (PCP) engendre une adaptation musculo-articulaire, une modification de la répartition des contraintes sur les dents résiduelles et le parodonte. Ces répercussions créent un terrain à risques de dysfonctionnement temporo-mandibulaire (DTM), de lésions dentaires et/ou parodontales. De plus, si les dents antagonistes sont présentes et qu’aucune réhabilitation n’est entreprise, l’espace prothétique vertical initial diminuera progressivement. Au vu de ces risques, et idéalement de façon préventive, la prise en charge des pertes de calage postérieur est indiquée, le recours aux restaurations implantoportées restant le traitement de référence dans ces situations cliniques. Cependant, à ce jour, aucun consensus n’existe concernant les protocoles chirurgicaux et prothétiques pour les réhabilitations implanto-portées dans les cas de PCP. L’objectif de cet article est d’analyser les différentes situations et de proposer une approche clinique basée sur les données de la littérature.
  • Le terme de bruxisme est systématiquement associé au « grincement de dents » par les patients. Or, cette manifestation n’en est qu’une parmi plusieurs autres. Un bruxisme peut être présent de jour, on parle alors de bruxisme d’éveil, comme de nuit, sous plusieurs formes possibles regroupées...
  • L’occlusion est une discipline de l’odontologie. Cependant elle est régulièrement considérée, à tort, comme une spécialité suscitant chez l’omnipraticien un manque d’intérêt, voire un désamour. L’occlusion devient pourtant passionnante et simple si l’on comprend son impact sur le...
  • L’ajustement occlusal des prothèses implanto-portées de petite et moyenne étendues reste une étape redoutée par certains praticiens. L’absence de ligament parodontal, et donc de proprio-ception et de mobilité, explique cette crainte de complications mécaniques futures en cas d’approximation lors...
  • Il y a quelques mois, Clinic rejoignait la collection des revues du groupe Information Dentaire. Un rapprochement placé sous le signe de la complémentarité et de la sérénité. Sérénité car une volonté était affichée : conserver l’ADN du titre, notamment grâce à ses quatre rédacteurs en chef,...