Clinic
n°05
05/2021
Lorsque le praticien prothésiste entreprend la réalisation d’une prothèse plurale fixée sur implant, un de ses défis est de mettre en place une armature passive et adaptée. Si la plupart des praticiens impliqués dans les thérapeutiques implantaires sont conscients de cette nécessité, peu ont une vision claire de cette problématique en réalité plus compliquée qu’elle ne paraît. Pourtant, l’inadaptation et le manque de passivité des armatures prothétiques ont de lourdes conséquences sur la pérennité des thérapeutiques implanto-prothétique. Entre passivité et adaptation, quels sont les concepts, les enjeux, et la pratique clinique ?