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  • Le processus coronoïde, ou apophyse coronoïde, est une saillie osseuse antérieure du bord supérieur du ramus de la mandibule, qui reçoit principalement l’insertion du muscle temporal. Dans le cadre d’une hyperplasie des processus coronoïdes, leur taille augmente, ce qui entraîne progressivement un...
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les sinus maxillaires et les fosses nasales étant en contiguïté anatomique avec l’arcade supérieure, le chirurgien-dentiste est très régulièrement confronté aux pathologies rhino-sinusiennes, et ce aussi bien de manière fortuite que face à un tableau symptomatique. Qu’elles soient de nature infectieuse, inflammatoire ou tumorale, ces pathologies se traduisent par une radio-opacité des cavités aériennes : une analyse fine des imageries ainsi que le recueil des symptômes et des signes cliniques sont essentiels pour orienter le diagnostic. L’étiologie dentaire étant une cause fréquente de sinusite maxillaire, la coordination entre ORL et chirurgien-dentiste permet d’améliorer significativement la prise en charge des patients.
  • Après un parcours chahuté, le statut d’assistant(e) dentaire de niveau 2 a été adopté au printemps 2023 (loi n° 2023-379 du 19 mai 2023 portant sur l’amélioration de l’accès aux soins par la confiance aux professionnels de santé).
  • En présence d’une malocclusion et/ou de malpositions dentaires, un traitement orthodontique est souvent requis mais il peut ne pas être suffisant sur le plan esthétique lorsqu’une anomalie est survenue au cours de l’éruption dentaire. Des techniques chirurgicales d’allongement des couronnes cliniques peuvent s’avérer nécessaires. Cette complémentarité orthodontie/parodontie souligne l’importance d’un diagnostic esthétique et fonctionnel commun entre orthodontiste et parodontiste.
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • La mise en charge précoce exige une séquence de traitement rigoureuse dont chaque étape doit être scrupuleusement respectée et validée avant de passer à la suivante. Néanmoins, avant de décrire le protocole en détails, il est important de définir le cadre dans lequel nous souhaitons intégrer notre...
  • Le traitement des usures dentaires représente l’un des défis majeurs de la dentisterie actuelle. L’attaque érosive, souvent combinée à des phénomènes concomitants d’abrasion et d’attrition, est à présent considérée comme l’un des principaux facteurs de perte tissulaire dentaire. Dans les...
  • L’usure dentaire (attrition, érosion) est un phénomène physiologique. Mais elle peut voir son évolution largement accélérée lorsqu’interviennent des facteurs aggravants, qu’ils soient intrinsèques ou extrinsèques. Les usures évoluent à bas bruit, de façon chronique et, lorsqu’on les...
  • Les atteintes non carieuses des tissus durs dentaires, telles que la perte érosive de substance dentaire, sont observées de plus en plus largement ces dernières années. La prévalence des atteintes clairement visibles est aujourd’hui estimée autour de 30 % [1]. Les raisons en sont notamment un...
  • Les lésions érosives résultent d’un processus d’exposition aux acides, quelles qu’en soient leurs origines, qui s’inscrit sur des périodes souvent longues de plusieurs années. Elles sont susceptibles de se superposer avec d’autres lésions des tissus durs ou des tissus parodontaux pour...
  • Depuis ces vingt dernières années, l’usure par érosion chimique connaît une augmentation exponentielle. Elle constitue désormais un réel problème de santé publique, pouvant impacter la qualité de vie des patients au niveau physique et psycho-social. Les signaux d’alerte étant faibles au stade...
  • Les récessions tissulaires marginales ou récessions gingivales sont définies par le déplacement du tissu gingival marginal apicalement à la jonction amélo-cémentaire. Elles sont très répandues, avec une prévalence estimée à 50 % pour les sujets âgés de 18 à 64 ans et à 88 % pour les sujets...
  • Pourquoi s’intéresser à l’hypersensibilité dentinaire (HD) ? Parce qu’il semble qu’elle soit souvent sous-diagnostiquée (ses signes cliniques étant peu « spectaculaires » et les douleurs certes intenses mais intermittentes) mais aussi sous-traitée parce qu’il n’existe pas de consensus...
  • Depuis 20 ans, nous assistons à une forte médicalisation de notre profession. Elle a été accompagnée par une évolution des pratiques qui s’orientent vers une activité en équipe multidisciplinaire et le recours fréquent à des compétences médicales multiples. Les examens biologiques de laboratoire...
  • L’obturation canalaire constitue une étape importante du traitement endodontique. Elle vise à sceller l’endodonte afin d’éviter une contamination ultérieure par les micro-organismes ou de permettre la cicatrisation d’une parodontite péri-apicale. La technique de condensation latérale à froid ou manuelle reste la plus enseignée en France. Dans la perspective d’amélioration de cette technique, une nouvelle variante assistée mécaniquement a été mise au point.
  • Colorations ? Mauvaise haleine ? Déchaussement ? Oui bien sûr… Mais n’oublions pas aussi… Douleur post-opératoire, échec implantaire, cannabis et vapotage.
  • En matière de lutte contre le tabagisme, le rôle de l’odontologiste ne doit pas se limiter à la détection et à la prise en charge des pathologies orales liées au tabac. En tant que professionnel de santé à part entière, il doit aussi s’impliquer, d’une part, dans la prévention à...
  • Selon les données de Santé publique France, 31,9 % des 18-75 ans déclarent fumer en 2021, un chiffre en hausse par rapport à 2019 probablement en lien avec la crise sanitaire du Covid-19 [1]. Le sevrage tabagique reste donc toujours un enjeu essentiel de santé publique en raison de l’impact de cette...
  • Le tabagisme est la première cause de mortalité et de maladies évitables en France et dans le monde. Il est responsable de 75 000 décès chaque année en France [1], la fumée du tabac contenant de nombreuses substances toxiques responsables des maladies liées au tabagisme [2, 3]. Fumer est un...
  • Le maxillaire postérieur édenté représente un défi thérapeutique pour le traitement implantaire. Après avulsion, la résorption osseuse et la pneumatisation du sinus maxillaire peuvent aboutir à une hauteur osseuse résiduelle réduite, souvent associée à une diminution de la densité osseuse. La...
  • La douleur oro-faciale peut être une manifestation d’une pathologie systémique, voire révéler celle-ci. L’adressage rapide au spécialiste compétent permettra une prise en charge précoce et une amélioration du pronostic global. Cet article présente les principaux tableaux douloureux oro-faciaux pouvant révéler une pathologie neurologique, cardiaque ou cancéreuse.
  • Les troubles des conduites alimentaires regroupent différents diagnostics cliniques dont principalement la boulimie, l’hyperphagie boulimique (binge eating disorder) et l’anorexie mentale. La boulimie ainsi que l’anorexie associée à des crises de boulimie sont caractérisées par des comportements de purge avec des vomissements qui expliquent en grande partie leurs répercussions précoces sur la santé orale. Un examen clinique attentif peut permettre au chirurgien-dentiste de repérer ces personnes en souffrance. Se posent alors différentes questions…
  • De nombreuses maladies génétique rares se manifestent dans la bouche au niveau des dents, du parodonte ou des muqueuses. Le chirurgien-dentiste a un rôle important à jouer dans leur dépistage et doit connaître la démarche à suivre quand il soupçonne une maladie rare.
  • Peut-on - sur le plan de la responsabilité médicale - prendre en charge un patient à risque sans entrer en contact avec son médecin traitant ? Comment imaginer que cette pathologie et son traitement n’affectent pas d’autres organes ?