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  • L’imagerie conventionnelle (rétro-alvéolaire – panoramique) et l’imagerie de technique plus récente CBCT sont requises pour l’établissement d’un bilan pré-implantaire. Cependant certains éléments doivent être précisés. La connaissance de l’anatomie et des multiples formes de certains éléments est un préalable indispensable à l’examen d’un cliché. Quelle que soit la technique, l’incidence choisies, il est de la responsabilité civile du praticien bien sûr d’examiner les sites susceptibles de recevoir des implants mais aussi de pratiquer un examen complet du cliché. Les recommandations de la HAS sont à ce titre très claires. Le cliché panoramique est un élément initial de tout examen radiographique pré-implantaire, il offre une vision des deux arcades et permet une sélection des patients pouvant bénéficier avec profit d’un examen par imagerie sectionnelle. L’imagerie sectionnelle est une technique de deuxième intention. Elle n’est justifiée que si l’examen standard seul est inadapté à l’évaluation de l’architecture osseuse complète d’un site implantaire. En effet, le praticien devra toujours avoir à l’esprit le principe de réduire la dose d’irradiation
  • Le bilan radiologique préopératoire constitue une étape fondamentale de la séquence thérapeutique en implantologie. Dans ce bilan, la modalité d’imagerie par tomographie volumique à faisceau conique (Cone Beam Computed Tomography, CBCT) prend une place d’autant plus importante que le traitement envisagé s’avère complexe. En plus de permettre une exploration précise des structures osseuses maxillaires et mandibulaires, les images obtenues constituent de plus en plus un prérequis essentiel à la planification chirurgicale et prothétique.
  • La tomographie volumique à faisceau conique (CBCT, Cone Beam Computed Tomography) connaît, depuis quelques années, un succès grandissant notamment en imagerie dentaire et maxillo-faciale. Des performances exceptionnelles en termes de résolution ainsi que des niveaux d’exposition très largement inférieurs à ceux du scanner médical ont fait de la technique CBCT une modalité de choix pour l’exploration des structures dento-maxillaires, contribuant à en élargir encore le spectre des indications cliniques.
  • L’imagerie conventionnelle (rétro-alvéolaire – panoramique) et l’imagerie de technique plus récente CBCT sont requises pour l’établissement d’un bilan pré-implantaire. Cependant certains éléments doivent être précisés. La connaissance de l’anatomie et des multiples formes de certains éléments est un préalable indispensable à l’examen d’un cliché. Quelle que soit la technique, l’incidence choisies, il est de la responsabilité civile du praticien bien sûr d’examiner les sites susceptibles de recevoir des implants mais aussi de pratiquer un examen complet du cliché. Les recommandations de la HAS sont à ce titre très claires. Le cliché panoramique est un élément initial de tout examen radiographique pré-implantaire, il offre une vision des deux arcades et permet une sélection des patients pouvant bénéficier avec profit d’un examen par imagerie sectionnelle. L’imagerie sectionnelle est une technique de deuxième intention. Elle n’est justifiée que si l’examen standard seul est inadapté à l’évaluation de l’architecture osseuse complète d’un site implantaire. En effet, le praticien devra toujours avoir à l’esprit le principe de réduire la dose d’irradiation
  • Le bilan radiologique préopératoire constitue une étape fondamentale de la séquence thérapeutique en implantologie. Dans ce bilan, la modalité d’imagerie par tomographie volumique à faisceau conique (Cone Beam Computed Tomography, CBCT) prend une place d’autant plus importante que le traitement envisagé s’avère complexe. En plus de permettre une exploration précise des structures osseuses maxillaires et mandibulaires, les images obtenues constituent de plus en plus un prérequis essentiel à la planification chirurgicale et prothétique.
  • La tomographie volumique à faisceau conique (CBCT, Cone Beam Computed Tomography) connaît, depuis quelques années, un succès grandissant notamment en imagerie dentaire et maxillo-faciale. Des performances exceptionnelles en termes de résolution ainsi que des niveaux d’exposition très largement inférieurs à ceux du scanner médical ont fait de la technique CBCT une modalité de choix pour l’exploration des structures dento-maxillaires, contribuant à en élargir encore le spectre des indications cliniques.
  • L’imagerie conventionnelle (rétro-alvéolaire – panoramique) et l’imagerie de technique plus récente CBCT sont requises pour l’établissement d’un bilan pré-implantaire. Cependant certains éléments doivent être précisés. La connaissance de l’anatomie et des multiples formes de certains éléments est un préalable indispensable à l’examen d’un cliché. Quelle que soit la technique, l’incidence choisies, il est de la responsabilité civile du praticien bien sûr d’examiner les sites susceptibles de recevoir des implants mais aussi de pratiquer un examen complet du cliché. Les recommandations de la HAS sont à ce titre très claires. Le cliché panoramique est un élément initial de tout examen radiographique pré-implantaire, il offre une vision des deux arcades et permet une sélection des patients pouvant bénéficier avec profit d’un examen par imagerie sectionnelle. L’imagerie sectionnelle est une technique de deuxième intention. Elle n’est justifiée que si l’examen standard seul est inadapté à l’évaluation de l’architecture osseuse complète d’un site implantaire. En effet, le praticien devra toujours avoir à l’esprit le principe de réduire la dose d’irradiation
  • Le bilan radiologique préopératoire constitue une étape fondamentale de la séquence thérapeutique en implantologie. Dans ce bilan, la modalité d’imagerie par tomographie volumique à faisceau conique (Cone Beam Computed Tomography, CBCT) prend une place d’autant plus importante que le traitement envisagé s’avère complexe. En plus de permettre une exploration précise des structures osseuses maxillaires et mandibulaires, les images obtenues constituent de plus en plus un prérequis essentiel à la planification chirurgicale et prothétique.
  • La tomographie volumique à faisceau conique (CBCT, Cone Beam Computed Tomography) connaît, depuis quelques années, un succès grandissant notamment en imagerie dentaire et maxillo-faciale. Des performances exceptionnelles en termes de résolution ainsi que des niveaux d’exposition très largement inférieurs à ceux du scanner médical ont fait de la technique CBCT une modalité de choix pour l’exploration des structures dento-maxillaires, contribuant à en élargir encore le spectre des indications cliniques.
  • Introduction Les premiers articles et travaux de recherche concernant la mise en charge immédiate remontent à plus de 15 ans. Celle-ci a déjà fait couler beaucoup d'encre et est l'objet de nombreuses polémiques encore aujourd'hui. Les principaux avantages de cette technique sont de diminuer la durée...
  • Introduction Dans toutes les spécialités médicales, l'évolution des techniques tend vers des interventions chirurgicales de moins en moins invasives, comme en témoigne par exemple, le développement de la microchirurgie vasculaire. Afin de limiter les risques peropératoires et les suites...
  • À l'occasion de ce numéro spécial du JPIO pour lequel nous avons eu l'honneur d'être sollicités, nous ferons un point sur l'évolution des plans de traitements implantaires.Je remercie le docteur Paul Mattout, rédacteur en chef du JPIO, pour sa confiance. Nous avons fêté en 2015 le cinquantième...
  • Certains principes fondamentaux de la prothèse dento-portée ont été directement appliqués à la prothèse implantaire sans réelles preuves scientifiques ; c'est le cas du rapport couronne/racine. Un rapport de 1/2, voire de 1/1,5, était considéré comme cliniquement acceptable pour les dents piliers...
  • Implant est allé à la rencontre de Marcel Le Gall, praticien expérimenté, auteur de nombreuses publications et communications en rapport avec différents domaines de l'implantologie, concernant notamment l'occlusion ou les rapports entre l'architecture implantaire et l'environnement osseux. Son expérience personnelle et ses opinions sur ces différents sujets sont exposés dans ce long entretien réalisé par Michel Metz, membre du comité scientifique de la revue.
  • Quel que soit le type de prothèse envisagé [, ], et même si le taux de survie implantaire s'avère très élevé [], la thérapeutique implanto-prothétique est susceptible d'entraîner des complications biologiques ainsi que des techniques nécessitant un suivi et une maintenance régulière. Ces...
  • Chez les patients désireux de restaurations prothétiques complètes implanto-portées, au maxillaire et à la mandibule, le besoin d'une greffe est de nature à compromettre leur décision de traitement prothétique (craintes, coût...). Les chirurgies pré-implantaires complexifient le traitement...
  • La présence d'un volume osseux suffisant est un prérequis essentiel au positionnement correct d'un implant dans le respect du projet prothétique. La première année suivant l'extraction, la résorption se traduit par une perte osseuse moyenne de 50 % de la largeur de l'os vestibulo-lingual []. De...
  • Face à l’évolution des techniques de chirurgie muco-gingivale par greffe de conjonctif enfoui (tunnel, lambeau à rotation papillaire…), la greffe épithélio-conjonctive peut sembler obsolète. Quelles en sont encore les indications aujourd’hui ?
  • Le bilan bucco-dentaire est une étape clé dans le parcours de soin d’un patient avant certaines interventions médicales. Une approche systématique permet de détecter d’éventuels foyers infectieux et de permettre leur élimination avant ces interventions limitant ainsi le risque de complications infectieuses post-opératoires.
  • Introduction Les chirurgies d'élévation de la membrane sinusienne par voie latérale ou crestale permettent la réhabilitation prothétique supra-implantaire lorsque la hauteur osseuse résiduelle est insuffisante. Le succès de ces procédures est généralement mesuré par des critères d'évaluation...
  • Introduction La prise en charge des cas complexes en parodontologie peut s'avérer difficile et de nombreux défis sont à relever : – soutenir l'intérêt du patient tout au long du traitement ; – posséder une vision globale jusqu'à la fin du traitement et cela dès le début du...
  • Recherche Résultats histomorphométriques après greffe de sinus par voie latérale : revue systématique de la littérature et méta-analyse Clinical Oral Implants Research2016;27:1106-1122Histomorphometric outcomes after lateral sinus floor elevation procedure: a systematic review of the literature and...
  • Un traumatisme facial dans l'enfance, une obstruction locale primitive ou secondaire, une pathologie infectieuse ou l'hérédité sont parmi les étiologies les plus fréquemment responsables de l'inclusion d'une canine maxillaire [1]. Un retard au diagnostic, une impossibilité ou un échec de traction...
  • Une perte de volume alvéolaire est toujours à attendre après une avulsion dentaire, même lorsque les dents présentent un ancrage osseux intact, en particulier en vestibulaire []. Ainsi, si l'implant est posé dans son contexte chirurgico-prothétique idéal, il arrive souvent que quelques spires soient...
  • La prise en compte d'un objectif esthétique dans le résultat des thérapeutiques implanto-prothétiques répond à une demande sans cesse croissante des patients traités. La prédictibilité du résultat dépend de nombreux facteurs cliniques tels que, notamment, la situation tridimensionnelle de...