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  • L’objectif de toute réhabilitation implantaire est le remplacement des dents absentes. Or, la morphologie des couronnes supra-implantaires est dépendante de la position de l’implant, de la morphologie des tissus mous péri-implantaires et de l’espace prothétique disponible. La réalisation d’une prothèse supra-implantaire implique donc une réflexion aboutie tant pré- que post-chirurgicale pour concevoir une couronne qui respecte à la fois la biologie, la fonction et l’esthétique. Au travers de cet article, nous proposons donc d’aborder les points importants à prendre en compte pour obtenir un résultat prothétique supra-implantaire optimal sur le long terme.
  • La chirurgie endodontique guidée, dont le développement a débuté voici une vingtaine d’années, est encore en pleine évolution. Son utilisation peut être particulièrement bénéfique pour le praticien débutant, mais aussi pour le praticien expérimenté confronté à des situations complexes. Cet article illustre ces usages à travers 4 cas cliniques.
  • Longtemps prise en charge par les chirurgiens stomatologues, la chirurgie endodontique se distingue en réalité des autres spécialités chirurgicales. Le traitement des pathologies péri-apicales ne se limite pas seulement à l’exérèse de tissus granulomateux et la résection des tissus infectés. Le traitement des lésions inflammatoires péri apicales d’origine endodontique (LIPOE) nécessite une connaissance, une prise en charge spécialisée et un arsenal thérapeutique adapté en micro chirurgie endodontique.
  • Que sont une bonne incision et une bonne suture en microchirurgie endodontique ? Une bonne incision est celle qui permettra une suture autorisant une cicatrisation de première intention des tissus mous, c’est-à-dire une cicatrisation rapide et qualitative (avec le moins de cicatrices possible) des étapes suivantes : l’hémostase/inflammation, la prolifération, le remodelage/la maturation. L’incision et la suture sont des composantes impliquées dans le pronostic de la microchirurgie endodontique, dont l’objectif, rappelons-le, est d’apporter un maximum de désinfection intracanalaire afin d’obtenir une guérison osseuse périapicale. Quel matériel ? Quelles techniques ? Quels critères à prendre en compte ?
  • Dans un article de la prestigieuse revue Periodontology 2000, en 2023, Roccuzzo et al. présentent la péri-implantite comme une conséquence d’erreurs techniques commises en thérapeutique implantaire [1]. Les erreurs mises en évidence par les auteurs et décrites comme à l’origine de la...
  • À côté des moyens de décontamination chimique qui n’ont pas montré une efficacité supérieure à la solution saline (méta-analyse de Wilensky et al. de 2023) [1, 2], d’autres méthodes de décontamination de la surface implantaire telles que les thérapies assistées par laser et les méthodes...
  • La péri-implantite est décrite comme une perte osseuse progressive résultant de l’inflammation due à la colonisation du sulcus péri-implantaire par des bactéries pathogènes (figure 1) [1]. L’un des aspects majeurs permettant de comprendre cette pathologie est qu’elle débute et progresse au...
  • Selon la définition du Larousse médical, un facteur de risque est un « facteur qui augmente les risques d’apparition d’une maladie ». Les connaître permet d’améliorer la prévention et de faciliter les décisions thérapeutiques quand elles s’avèrent nécessaires. Dans le contexte des...
  • Les DTM sont des pathologies multifactorielles. Leur diagnostic est complexe et lui-même multicritère, associant une évaluation somatique, psycho-émotionnelle et éventuellement biologique. Le consensus est le recours à une prise en charge la moins invasive possible et plutôt multimodale associant...
  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les sinus maxillaires et les fosses nasales étant en contiguïté anatomique avec l’arcade supérieure, le chirurgien-dentiste est très régulièrement confronté aux pathologies rhino-sinusiennes, et ce aussi bien de manière fortuite que face à un tableau symptomatique. Qu’elles soient de nature infectieuse, inflammatoire ou tumorale, ces pathologies se traduisent par une radio-opacité des cavités aériennes : une analyse fine des imageries ainsi que le recueil des symptômes et des signes cliniques sont essentiels pour orienter le diagnostic. L’étiologie dentaire étant une cause fréquente de sinusite maxillaire, la coordination entre ORL et chirurgien-dentiste permet d’améliorer significativement la prise en charge des patients.
  • Les cellulites cervico-faciales (CCF) sont des pathologies infectieuses de la sphère oro-faciale relativement fréquentes qui présentent des tableaux cliniques variés. Prises en charge rapidement et de façon adaptée, leur pronostic est bon mais certaines formes graves peuvent engager le pronostic vital du patient. Les chirurgiens-dentistes se doivent de bien connaître ces pathologies, de savoir identifier les signes de gravité et d’assurer une prise en charge correcte du patient ou, le cas échéant, de l’adresser en milieu hospitalier.
  • Dans le domaine de l’implantologie, la recherche et les innovations technologiques de ces dernières décennies ont visé essentiellement à étendre les indications tout en diminuant les échecs. Ces innovations ont surtout concerné l’implant lui-même, que ce soit au niveau de son état de surface [1],...
  • L’éruption passive altérée (EPA) est une anomalie de l’éruption dentaire atteignant les tissus mous et/ou le tissu osseux péri-dentaire. Sa prévalence dans la population générale est élevée. La demande des patients est le plus souvent esthétique. La démarche diagnostique est très bien codifiée. Les outils numériques (photographies, empreinte optique, CBCT) sont une aide supplémentaire dans l’établissement de ce diagnostic.
  • En présence d’une malocclusion et/ou de malpositions dentaires, un traitement orthodontique est souvent requis mais il peut ne pas être suffisant sur le plan esthétique lorsqu’une anomalie est survenue au cours de l’éruption dentaire. Des techniques chirurgicales d’allongement des couronnes cliniques peuvent s’avérer nécessaires. Cette complémentarité orthodontie/parodontie souligne l’importance d’un diagnostic esthétique et fonctionnel commun entre orthodontiste et parodontiste.
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • Nous avons tous déjà vécu ou entendu parler d’une expérience décevante lors de la réalisation d’une extraction/implantation immédiate dans le secteur antérieur. La littérature n’est pas toujours tendre avec cette technique. Mais le risque de ce protocole est-il une réalité scientifique ? Les protocoles modernes décrits pour la gestion des cas esthétiques en extraction/implantation immédiate fournissent les clés pour obtenir des résultats esthétiques reproductibles, la technique devenant un allié de choix pour la préservation tissulaire.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
  • Une avulsion dentaire conduit à une perte osseuse dans les sens vertical et horizontal. Selon la loi de Wolff, l’os se forme et se résorbe en fonction des contraintes mécaniques qu’il subit ; l’absence de support dentaire entraînera un phénomène de résorption de l’os alvéolaire (figure 1)....
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • L’identification précise des facteurs de risques à l’origine des hypersensibilités dentinaires constitue une étape clé pour mettre en œuvre une stratégie thérapeutique visant à prévenir et à cibler au mieux le traitement de cette pathologie. Cette affection concerne des populations de plus en plus jeunes et cette pathologie douloureuse d’étiologie multifactorielle peut affecter la qualité de vie des patients en ayant des répercussions sur le confort et la fonction buccale. Sa prise en charge est un véritable défi compte tenu de la complexité des mécanismes biologiques sous-tendant ces phénomènes encore mal connus.