PEU, PAS OU TROP DE SALIVE : DANS QUELS CAS ADRESSER ?
 
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21/07/2023

PEU, PAS OU TROP DE SALIVE : DANS QUELS CAS ADRESSER ?

Les patients se plaignent souvent de sécheresse buccale. Prendre cette plainte en considération est essentiel pour la santé orale. Manquer de salive ou en avoir de façon trop abondante… Nous devons savoir objectiver ces situations et rebondir. À quelles conditions médicales devons-nous penser ? Comment les explorer ? Quand adresser à un médecin ? Marjolaine GOSSET, Rama ALBITAR et Franck DECUP nous l'expliquent.

Le manque ou l’excès de salive peut constituer une gêne dans le quotidien du patient : difficulté à la déglutition, bouche qui colle, réveils pour boire la nuit ou, à l’inverse, sensation de baver sont autant de plaintes exprimées. Les conséquences sur la santé orale sont également importantes et peuvent aboutir à des perturbations complexes. Si dans certains cas, l’étiologie d’une hyposialie peut être identifiée aisément (ex. : radiothérapie cervico-faciale), le chirurgien-dentiste peut aussi se retrouver en première ligne dans le diagnostic d’une maladie jusqu’alors inconnue. Dans ces situations, savoir dépister les signes caractéristiques d’un déséquilibre salivaire et orienter vers un médecin approprié ou un spécialiste permettra une prise en charge efficace du patient.

Le chirurgien-dentiste à un rôle à la fois dans le diagnostic et dans la prise en charge des variations du débit de salive. Elle est très importante pour le patient qui doit être suivi de manière spécifique.

La prise en charge en association avec l’équipe médicale garantit un traitement efficace et rassurant pour le patient.

PEU, PAS OU TROP DE SALIVE


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