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  • Actuellement, bon nombre de dentifrices sont proposés par différentes marques aussi bien en pharmacie qu’en grande surface. Chacun d’entre eux possède des vertus différentes et la composition varie en fonction de la nature de l’affection à prévenir ou à traiter. Cependant, il n’est pas évident de choisir de façon adéquate son dentifrice. Il paraît dès lors essentiel, pour le chirurgien-dentiste, de connaître la composition et l’action des dentifrices pour répondre intelligemment à la question usuelle des patients : « Quel dentifrice me conseillez-vous ? »
  • Si les pâtes dentifrices ont longtemps été utilisées comme de simples produits cosmétiques destinés à « nettoyer » les dents et rafraîchir l’haleine, aujourd’hui l’addition de principes actifs et d’agents thérapeutiques leur confère un rôle dans le traitement et la prévention des maladies bucco-dentaires. Le rôle du chirurgien-dentiste est d’éviter à ses patients l’automédication et la surconsommation de ces produits. Pour cela, il est incité, lors d’un conseil ou d’une prescription de dentifrice, à prendre en considération un certain nombre de critères dépendant du produit et du patient lui-même afin de répondre au mieux à ses attentes et à ses besoins et d’éviter d’éventuelles complications.
  • Les complications post-traumatiques des dents permanentes sont très fréquentes et diversifiées. Elles peuvent être pulpaires (nécrose, oblitération, résorption interne) ou parodontales (résorptions radiculaires externes). Ces résorptions peuvent être de surface, inflammatoires, de remplacement (ankylose). Le praticien doit reconnaître ces complications le plus tôt possible avant qu’elles ne deviennent irréversibles et compromettent l’avenir de la dent et du sourire. Cet article examine les complications auxquelles le praticien doit faire face et leur traitement selon les données acquises de la science ; il présente également quelques situations cliniques caractéristiques.
  • L’onychophagie est définie comme l’acte de se ronger les ongles, le plus souvent observée chez l’adolescent et l’adulte jeune. Cette habitude peut entraîner de nombreux problèmes médicaux et dentaires. Malheureusement, elle reste de nos jours un problème non résolu aussi bien sur le plan médical que dentaire. Dans cet article, un appareillage fixe non punitif utilisant un fil rond torsadé en acier inoxydable collé de canine à canine à l’arcade mandibulaire est proposé comme traitement de l’onychophagie. Il a été utilisé avec succès sur une patiente et qui l’a porté durant 1 mois et qui, après sa dépose et avec un recul de 9 mois, en a été entièrement satisfaite.