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  • ACCESSIBILITÉ
    La date fatidique approche. Il ne reste plus que quelques semaines aux chirurgiens-dentistes pour faire le bilan de la mise aux normes de leur cabinet en matière d’accessibilité. Le 31 décembre, au plus tard le 1er mars 2015 précise le décret d’application, ils devront avoir transmis à la...
  • Au pays des chaînes discount, le secteur dentaire fait lui aussi miroiter des soins à bas prix. Les acteurs du marché se veulent toutefois nuancés, préférant plutôt parler qualité que prix. C’est que la profession s’est recadrée, aidée en cela par le législateur. Un clin d’œil à une...
  • Créés sur la base de partenariats entre les CHU et les facultés dentaires, les services d’odontologie volent au secours des régions dont les indicateurs de santé sont au rouge. Bien qu’ils aient encore besoin d’ajustements en matière d’encadrement universitaire, ces services font le bonheur des étudiants des cinquième et sixième années qui y sont accueillis et des praticiens locaux qui y trouvent du sang neuf.
  • Un parcours sans faute. À 21 ans et au seuil de sa 3e année de dentaire à l’université Paris Descartes, Camille Poulain-Ferarios, 50 fois médaillée aux championnats de France de ski nautique, 23 fois aux championnats d’Europe et d’Afrique et vice-championne du monde, enchaîne les succès français et internationaux avec la même aisance que ses années universitaires. Un talent pour l’organisation et une discipline inflexible lui permettent de vivre sa passion de sportive de haut niveau parallèlement à ses études.
  • Bilan mitigé pour le MEOPA
    Le traitement de l’anxiété et de la douleur liées aux soins ne cesse de préoccuper les chirurgiens-dentistes. Le MEOPA autorisé en médecine de ville depuis 2009 étant loin de satisfaire les besoins, certains praticiens revendiquent aujourd’hui l’exploration d’autres voies de sédation. Davantage qu’une recherche de confort, il s’agit d’offrir une véritable solution aux patients en échec de soins.
  • La formation initiale des chirurgiens-dentistes a beaucoup évolué ces dernières années. Dans ce numéro de rentrée universitaire, Clinic est allé à la rencontre d’étudiants en fin de cursus pour connaître les motivations et les projets de ceux qui ont emprunté quelques-unes des nouvelles voies de...
  • RÉSEAUX DE SOINS
    Estimant que les pratiques et les activités de Santéclair sont illicites, le syndicat UJCD-Union dentaire demande à la justice de prononcer la dissolution de la plateforme. Cette action intervient au moment où le député Daniel Fasquelle dépose une proposition de loi réclamant la suppression des réseaux de soins.
  • JEAN-NOËL VERGNES Chirurgien-dentiste, enseignant à l’UFR d’odontologie de l’université Paul-Sabatier de Toulouse et professeur associé dans la division Oral Health & Society de l’université McGill de Montréal (Canada)
    En quoi l’approche centrée sur le patient appliquée à l’odontologie est-elle novatrice dans la relation patient-praticien ? Il ne s’agit pas seulement d’écouter le patient mais de mettre en place les conditions pour susciter sa parole, par une attention de tous les instants. La parole du patient...
  • Pas moins de deux cocoricos en ce début d’année pour l’identification odontologique. Ce petit monde d’initiés et de passionnés, composé de chirurgiens-dentistes français, vient de lancer l’une après l’autre deux nouvelles méthodes – inédites dans le monde – qui vont révolutionner l’identification des personnes disparues. Et confirmer que le chirurgien-dentiste est bien un expert incontournable de cette science.
  • À bord du Buccobus, munis de mallettes ou bientôt sur écran, des chirurgiens-dentistes, en « baroudeurs des soins dentaires », soignent des patients peu mobiles ou dépendants, à domicile ou dans leurs établissements spécialisés. Des initiatives de réseaux qui restent cependant des réponses régionales reposant sur les convictions et la mobilisation de la profession.
  • Paternaliste, professorale ou orientée vers les services, la relation patient-praticien se conjugue sur tous les modes. La succession des lois « patients » et la place prise par les médias sociaux obligent cependant à un examen profond de ces modes de communication au fauteuil. Une approche globale du patient s’impose de plus en plus pour répondre aux besoins de transparence et d’information du patient. Une posture nouvelle du praticien qui n’est pas sans effets positifs sur l’adhésion au plan de soins.
  • L’enthousiasme des jeunes se tiédit, dans de nombreux cabinets la trésorerie se tend, le contexte législatif et économique se charge d’incertitudes… Ces diverses menaces qui pèsent sur la profession mettent à mal l’esprit d’entreprise. Pourtant, la profession serre les rangs, bien décidée à sauvegarder ce qui fait l’essence même de l’exercice libéral.
  • Leur récente inscription au Code de la santé publique est l’occasion pour les assistantes dentaires de redéfinir leur rôle au sein du cabinet. Et de s’imposer comme des acteurs incontournables des soins au fauteuil. Une opération d’autant plus stratégique que la profession pourrait bientôt subir la concurrence d’hygiénistes et de denturologues venus de l’Union européenne.
  • Aujourd’hui, le statut de professionnel de santé ne protège plus les chirurgiens-dentistes contre les incivilités et les attitudes agressives. Spécialistes dans leur domaine, le praticien et son assistante sont peu préparés à ces situations qui demandent de nouvelles compétences en communication. Une formation par jeux de rôle fournit les clés pour désamorcer ces conflits.
  • Séduire le consommateur ne suffit plus. Sur un marché saturé en intervenants et en innovations, les marques bucco-dentaires déploient de nouveaux moyens en direction des chirurgiens-dentistes, un cœur de cible privilégié pour sa crédibilité auprès des patients. Marie Luginsland
  • Haute technicité, libre fixation des prix et libre accès aux investisseurs, pour le marché des soins dentaires, le plat pays est un vrai pays de cocagne.
  • Une prévention collective qui recule ou, au mieux, stagne, des jeunes patients adressés aux centres hospitaliers faute de capacités en cabinets libéraux, ces mêmes centres hospitaliers engorgés pour des soins de première intention et, pendant ce temps, une polycarie galopante dans certaines populations… Cet état des lieux met au jour les nombreuses incohérences de la prise en charge bucco-dentaire de l’enfant. Et la nécessité de mettre fin à ces dérives par une réforme en profondeur. Au-delà de la revalorisation des actes sur l’enfant, c’est l’ensemble de la prise en charge des plus jeunes patients qui doit être mise au cœur du système de soins.
  • Bien que floutée par de nombreux reports et de multiples dérogations, la loi de 2005 sera bien mise en application au 1er janvier. L’accessibilité du cabinet est aujourd’hui une question d’actualité. Une priorité à classer parmi les bonnes résolutions de l’année 2015.
  • Comment fonctionne le système de soins dentaires chez nos voisins ? L’herbe est-elle plus verte ailleurs ? À l’heure où l’on s’interroge sur l’avenir de notre système de soins, Clinic lance un tour d’Europe des conditions d’exercice. Ce mois-ci, l’Allemagne et la Belgique sont passées au crible.
  • Un système de bonus sur les actes prothétiques récompense les assurés assidus aux visites de prévention, menées par le praticien ou ses assistantes dentaires, spécialement qualifiées.
  • Comme si le projet de loi de santé, passé devant le Sénat début octobre, et même le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), marronnier de cette période automnale, ne suffisaient pas à animer la rentrée, la profession a été rattrapée par deux anciens dossiers. Le CLESI tout...
  • La Scandinavie ne prend pas sa denture à la rigolade. Tandlæge, tandläkare, tannlege… chirurgiens-dentistes danois, suédois ou norvégiens ont toujours été à la pointe de l’innovation quand il s’est agi de promouvoir l’implantologie, de remettre en cause l’usage systématique du fluor ou encore de remplacer les amalgames par des composites.
  • Dans ce pays où le cabinet évoque souvent un petit centre de santé dentaire, la spécialisation et la haute technicité constituent les meilleures parades des praticiens libéraux contre l’émergence des centres soutenus par les caisses d’assurance maladie.
  • Les chirurgiens-dentistes sont de plus en plus nombreux à déployer leurs compétences dans l’exercice exclusif d’une discipline de la chirurgie dentaire. Estimant répondre à un besoin de santé publique, nombre d’entre eux revendiquent aujourd’hui une reconnaissance par une structuration de leur discipline, envisageant même la voie de l’internat. Toutefois, seules trois spécialisations sont aujourd’hui possibles.
  • Sur fond de revendications politiques, un profond malaise traverse la profession. Malmenée par différents rapports institutionnels, les médias et le projet de loi de santé, elle estime qu’un mauvais procès est fait au dentaire. L’étau se resserre d’autant plus que de nombreux cabinets ont des difficultés à compenser la chute de leur activité, liée à la crise. Pour les praticiens désorientés par ces évolutions, seule une issue s’impose : la revalorisation des tarifs.