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  • Les lésions des dents postérieures donnent lieu à de multiples solutions restauratrices. À côté des matériaux d’usage direct, notamment l’amalgame et la résine composite, les plus fréquemment utilisés, il existe des techniques de reconstitution par méthode indirecte en composite, céramique ou alliages d’or. Le comportement clinique de ces restaurations sur le long terme, peu étudié, est d’un intérêt significatif pour le praticien dans le choix du meilleur plan de traitement.
  • L'évolution de la structure et de la composition des composites a conduit à l'apparition des matériaux dits « bulk fill » qui sont spécifiquement conçus pour une mise en place en masse et une simplification du protocole d'utilisation. Toutefois, de tels matériaux doivent conserver des propriétés...
  • APPROCHE INNOVANTE GRÂCE AU FLUX NUMÉRIQUE
    La prise en charge de l’édentement total est actuellement bouleversée par la CFAO qui permet de proposer de nouvelles solutions thérapeutiques associées à 4 nouveaux flux de travail. Le flux prothétique sans références prothétiques préexistantes et le flux spécifique de prothèse immédiate sont détaillés dans cet article. Une synthèse originale est présentée récapitulant les quatre principaux flux de travail actuellement envisageables en PAC.
  • Prendre en charge des dents atteintes de fluorose constitue un défi pour les chirurgiens-dentistes qui prennent en charge les patients avec un motif de consultation esthétique. Parmi les techniques proposées, la micro-abrasion amélaire est une thérapeutique minimalement invasive qui trouve notamment son indication pour les cas de fluorose légère à modérée. Elle peut être couplée à d’autres thérapeutiques comme l’éclaircissement externe en ambulatoire pour des résultats esthétiques optimaux.
  • La restauration d’une dent délabrée en méthode indirecte place le praticien devant le difficile choix du type de recouvrement à envisager et du mode d’assemblage à privilégier. L’arbre décisionnel de réhabilitation de l’organe dentaire renvoie au gradient thérapeutique proposé par Gil Tirlet et Jean-Pierre Attal dès la fin des années 2000 [1]. Le traitement de premier choix, face à une perte de substance importante impliquant une ou plusieurs cuspides, est la restauration indirecte collée, réalisée, au cabinet ou au laboratoire de prothèses, après empreinte physique ou numérique. Contrairement à une restauration en méthode directe, elle permet un contrôle précis du profil d’émergence, d’une occlusion pérenne et des points de contact de la dent à reconstruire. L’utilisation d’une résine composite en méthode directe est cependant tout à fait indiquée dans de nombreuses situations cliniques car elle présente de nombreux avantages : une restauration de 1,5 à 2 mm peut être réalisée facilement au fauteuil en une seule séance. Les propriétés mécaniques sont proches de celles des tissus dentaires [2] et leur taux de survie est très bon jusqu’à plus de 10 ans [3] si le protocole de collage est respecté. Cependant, le respect de l’anatomie et le contrôle du point de contact ou du profil d’émergence restent difficiles à gérer. Ainsi, lorsqu’il faut réhabiliter plusieurs quadrants ou modifier l’occlusion, ou encore lorsque la restauration nécessite un recouvrement cuspidien, la restauration indirecte devient alors plus évidente pour le clinicien.
  • C’est la fin du professeur tout-puissant et du cours magistral. Autonomisés, les étudiants découvrent de nouvelles manières d’apprendre. Chaque faculté s’adapte, à sa manière, aux nouvelles techniques d’enseignement. Cours en ligne, empreintes numériques, jeux de rôle et serious games en sont les outils principaux.